mercredi 15 mars 2017

FILLON (suite..) : ECOUTEZ NOUS !!





                    " Il ne croit pas à ce qu'il croit "

                                Charles  PEGUY


Réf. : "Les leçons du Trocadéro"  Christophe Billan
           "Fillon accélère la crise du système"  Ivan  Rioufol


                                             Plus les jours passent plus la campagne de François Fillon déçoit et agace les français, nombreux, qui l'ont plébiscité lors des primaires et sauvé, il y a quelques jours au Trocadéro, du désistement programmé.
 Cette déception, Monsieur Fillon, pourrait se transformer en rejet très rapidement si vous n'écoutez pas ceux qui vous avaient choisi pour votre programme libéral-conservateur, seul capable de sortir la France du déclin économique et de lui conserver son identité et son Histoire.


     Lisez ou relisez ce que Christophe Billan et Ivan Rioufol ont écrit récemment :


               ...... "..Ces français accordent leur confiance à François Fillon qui défend sans démagogie l'idée d'une France protectrice et solide, une France consciente de son histoire et de ses valeurs et prête à jouer pleinement son rôle dans une économie moderne et ouverte. Croire que le bon sens de cette foule tient de la radicalité relève de l'irresponsabilité politique ou de la malhonnêteté partisane." ....

                ...... ".. Ils portent les aspirations et les doutes du peuple français. Aujourd'hui, le clivage le plus important n'est plus entre la droite et la gauche mais entre ceux qui s'obstinent à les ignorer par calcul ou par aveuglement." ... " Les microcosmes médiatico-politiques coupent progressivement les élites de la réalité du pays. Le peuple existe encore et veut être entendu." ...

                 ...... ".. Bien sûr, la droite doit être plurielle et il lui faut composer avec tous les courants. Toutefois, la synthèse ne doit pas devenir un marécage incapable de porter un projet et de soutenir des valeurs." ...

                 ......".. François Fillon a rendez-vous avec l'histoire."...." Son assise, comme l'était celle de Charles de Gaulle, est populaire avant d'être partisane : il sait toucher le cœur des Français et répondre à leurs préoccupations. ".....

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                 ......" .. Seuls les Français peuvent sauver la démocratie, malade de partis éloignés des gens, de journalistes perroquets, de magistrats indifférents à la séparation des pouvoirs." ....

                  ......".. La droite officielle s'enferme dans le même piège (mise en garde contre le "populisme", cette aspiration des citoyens à être entendus) en feignant d'ignorer le projet libéral-conservateur qui a porté Fillon aux primaires."....

                  ......".. Pourtant, persiste chez Fillon une réticence à franchir le Rubicon, afin de rompre avec ses faux frères, faux amis, faux alliés, faux témoins. Tous veulent l'instrumentaliser encore et le détourner du peuple en colère." ... " Fillon n'est pas clair lorsqu'il déclare : "Je ne me soumets pas", avant d'inviter les fuyards centristes de l'UDI à le rejoindre. Ne voit-il pas que cette tambouille est indigeste ? " ... 


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                    Ne reculez pas ! La victoire, très difficile mais encore possible, est à ce prix .



       " Je souffre d'une infirmité épouvantable : je ne peux écrire que si j'ai quelque chose à dire."

                               Michel  TOURNIER




            
                    

mercredi 8 mars 2017

FILLON (suite.....) : TRAHISON ?




" Quand on parle pognon, à partir d'un certain chiffre, tout le monde écoute".

                    Michel  AUDIARD  ( Le Président de Henri Verneuil)



                                          Monsieur Fillon, la foule du Trocadéro qui vous a sauvé dimanche dernier vous oblige, ne nous trahissez pas ! Ne transigez pas sur vos convictions et votre programme des primaires ! Ne transigez pas avec tous les faux c..., les lâches, les traîtres et en premier lieu l'UDI et son président Jean-Christophe Lagarde le premier d'entre eux. Le peuple de droite ne vous pardonnera pas la moindre compromission avec ces tristes sires nostalgiques des "petites cuisines" de la IV ième République. Ne vous trompez pas de combat, le votre c'est redonner à la France sa grandeur, sa fierté, son indépendance et non pas satisfaire l'ego hypertrophié de médiocres "politichiens" avec lesquels aucune des réformes indispensables au renouveau de notre pays ne sera possible. Avec eux le pays sera ingouvernable, vous le savez,  "comme aux plus beaux jours de la IV ième". Vous ne pouvez pas, vous ne devez pas abandonner à l'UDI  96 circonscriptions aux prochaines législatives ! Seuls ceux qui ne vous ont pas lâchement abandonné méritent le suffrages du peuple de droite;

                                         Monsieur Fillon, ne trahissez pas vos électeurs des primaires ! N'ayez pas peur ! N'écoutez pas les sondages manipulés, ignorez les médias formatés par quarante ans de dérives gauchisantes,libertaires, droits-de-l'hommiste, laïcardes, altermondialistes,..., n'abandonnez pas vos convictions "pour un plat de lentilles"  ! Si tel n'est pas le cas votre défaite est inéluctable et, avec elle, le déclin irrémédiable de notre beau pays abîmé par ceux qui vous ont trahi sans état d'âme la semaine dernière.


" On est gouverné par des lascars qui fixent le prix de la betterave et qui ne sauraient pas faire pousser des radis".

                     Michel  AUDIARD  ( Le Président de Henri Verneuil).  




              


  

lundi 6 mars 2017

FRANCOIS FILLON et la FUITE EN CANARD


 




" Parce que tout est perdu, rien n'est perdu. Demain ce sera la résistance ou la collaboration".

                 Gérard de VILLIERS


  " Maintenant que la bassesse déferle, ces soldats regardent la terre sans rougir et le ciel sans blêmir"

                 Charles de GAULLE


                     François Fillon dans son discours du Trocadéro n'a pas eu de mots assez durs pour fustiger "la fuite en canard, sans honte et sans orgueil" de ces soi-disant soutiens qui n'ont pas hésité à le lâcher en "rase campagne" dès que des vents contraires  ont commencé à souffler et à mettre en danger leurs prébendes qu'ils croyaient éternelles..... Ces traîtres, " revenus de tout sans être allé nulle part", n'ont pas compris que le "peuple de droite" n'en voulait plus et que l'élection présidentielle va être l'occasion de s'en débarrasser une bonne fois pour toute. Alain Juppé, le loser triste, vient enfin de le comprendre en refusant de prendre la tête des lâches de cette droite gauchisante et apeurée dont une grande majorité va se tourner vers l'histrion porte serviette de François Hollande, "favori" du parrain des bobos parisiens Pierre Berger, le socialo centriste, Emmanuel Macron, l'homme pour qui "la culture française n'existe pas" et qui "n'a jamais vu l'Art français" !!...



                      Monsieur Fillon, vous forcez l'admiration de millions de français qui ne se laisseront pas impressionner par le matraquage médiatique de journalistes hystériques attachés à votre perte, sur ordre pour certains, par conviction pour d'autres. Ces millions de  français vont, le 23 avril prochain, vous désigner sans coup férir pour les représenter au second tour de la présidentielle au grand dam de ces "experts de rien et autorités sur tout" qui se permettent à longueur de journée de nous donner des leçons de morale, celles de la pensance, du politiquement correct et d'un vivre ensemble altermondialiste et libertaire. 

                    TENEZ BON, LE PEUPLE DE FRANCE VOUS SOUTIENT !



      Nota Bene

                                Liste, non exhaustive !..., des "canards" qui ont déserté leur camp sans gloire :                                    
             Le Maire, Solère, Estrosi, Boyer, Stéfanini, Larcher, Morano, Pécresse, Keller, Fenech, Darmanin, Fasquelle, Boyer, Hortefeux, Copé, Apparu, Philippe, Raffarin, Bussereau, Gosselin, Bertrand, Calmels, Mariton, Perben, ....... (à suivre) ....

                         Auxquels il faut ajouter les traîtres professionnels : Jean-Christophe Lagarde et l'UDI en général, Jean-Louis Borloo, avocat de Bernard Tapie lorsque celui-ci rachetait des entreprises en difficulté et repartait avec la caisse..., François Bayrou, l'Edgar Faure de la V iéme République, ...Là encore la liste n'est pas exhaustive, loin s'en faut !


" Le peuple est populaire quand il pense bien, populiste quand il pense mal....En France, il est sacré quand il pense comme nos élites, il est jeté aux chiens dans le cas inverse".

                              Eric  ZEMMOUR

 " Cessons de baptiser "populisme" ce que nous n'aimons pas et ne comprenons pas, et qui nous effraie".

                               Pierre-André  TAGUIEFF   



            

dimanche 5 mars 2017

KOPA, LE NAPOLEON DU FOOTBALL FRANCAIS







                 " Pourquoi les dieux du stade préférèrent-ils Copacabana à Kopaszewski ?".

                                                 Etienne de MONTETY



                La disparition de Raymond Kopa marque pour beaucoup d'entre nous, les admirateurs de l'équipe de Reims des années 1950 - 1965, la fin d'une époque de rêve du football français, n'en déplaise aux contempteurs du football business qui a à jamais détruit ce rêve de notre jeunesse passée. 

                On ne peut oublier la finesse, l'intelligence, l'esprit offensif et l'intérêt de l'équipe, tous ces principes et ces goûts qui ont mené la carrière  de ce joueur d'exception qu'était Kopa. Des dribbles endiablés, des passes décisives qui enthousiasmaient partenaires, spectateurs et même ses adversaires admiratifs. Une technique remarquable alliée à une intelligence du jeu hors du commun en ont fait l'égal du roi Pelé et du "major galopant" Ferenc Puskàs, et lui ont valu le surnom de "Napoléon du football" !....




                Avec ses camarades du Stade de Reims il a fait rêver des millions de français. Qui n'a pas vibré au spectacle donné par Fontaine, Piantoni, Vincent, Glowacki, Colonna, Templin, Penverne, Jonquet, Méano, Sinibaldi, Siatka, Leblond, Zimmy, Bliard, Akesbi, Muller, Wendling,...emmenés par Kopa et dirigés par Albert Batteux !!?....


             Merci monsieur Raymond Kopa pour tout ce bonheur que vous nous avez donné  !




"Le désespoir est le contraire de la nostalgie. Il y a inscrit dans la nostalgie l'idée d'un retour ou de retrouvailles, ce que ne permet pas le désespoir".

                          Frédéric  ROUVILLOIS