mercredi 17 mai 2017

BAYROU : LA HONTE !!





           " La  trahison qui coûte aux uns rapporte aux autres".

                   Georges  BERNANOS


            Pour les naïfs qui n'avaient pas bien compris :

                                       La vrai fausse colère de François Bayrou la semaine dernière après la parution de la liste des candidats de l'équipe Macron pour les législatives dans laquelle la place du Modem n'avait pas l'importance qu'il espérait n'était bien entendu qu'une ultime basse manœuvre pour exiger pour lui et son caniche de compagnie , Marielle de Sarnez, des postes de ministres avec pour lui le titre pompeux de "ministre d'Etat" pour satisfaire son insatiable ego.

            Cet homme, idéologue ultra laïciste, est une honte pour la République et ceux qui la servent si ce n'est avec talent, au moins pour certains, avec conviction . Nommer un sot  Garde des Sceaux, c'est inespéré pour les chansonniers et humoristes qui perdent beaucoup avec le retrait de "pépère" Hollande ! Sa couardise légendaire face aux syndicats au ministère de l'Education Nationale où il a sévit deux fois, (il y a plus de vingt ans....), va être mise à rude épreuve face au très sectaire Syndicat de la Magistrature, tristement célèbre pour son "mur des c...".

                       Un peu de courage monsieur le ministre d'Etat !

           " Les faiblesses s'excusent, les trahisons se châtient".

                    Erik  L'HOMME



lundi 15 mai 2017

EDOUARD PHILIPPE : LE BAL DES FAUX-CULS



 




        " Ce n'est pas la girouette qui tourne, c'est le vent".

                           Edgar  FAURE



           Dans la grande famille des faux-culs et traîtres en tout genre, après le grand-père, Edgar Faure, le père, Alain Juppé, voici le fils, Edouard Philippe qui vient de brûler la politesse à l'éternel cocu magnifique de la politique française de ses trente dernières années, François Bayrou, pourtant expert en traîtrise de toutes sortes....

           Le nouveau premier Ministre vient de déclarer : " Je suis un homme de droite"...! Quel culot, quel manque de respect vis à vis de ses concitoyens  à qui il venait de faire croire, la main sur le cœur (à gauche), qu'il se consacrerait à la seule ville du Havre et renonçait donc à son mandat de député, tout en soutenant sa suppléante LR aux élections législatives !  Nous voilà revenus aux basses manœuvres, trahisons, coups de couteaux dans le dos, alliances de circonstance,  comme au bon vieux temps de la IV ième République chère au maître incontesté et toujours inégalé en la matière, Edgar Faure. 


            Cette tambouille politichienne affligeante ne peut que précipiter la France un peu plus dans le déclin et les Français, battus, cocus et mécontents, au mieux dans le découragement, au pire dans la colère. Mais le pire n'étant pas toujours certain, laissons une chance à ce futur gouvernement improbable, ni de gauche, ni de droite....., de nulle part et d'ailleurs sans aucun doute, l'avenir le dira.

" Il est indispensable de distiller un peu de vérité pour faire passer un gros mensonge".

                          Edgar  FAURE



 " Les bons à rien ne sont pas de mauvais atouts".

                            Edgar  FAURE

lundi 8 mai 2017

MACRON ! qui ?


  


"Marche, même lorsque tu ne vois pas pas ta route, car la route n'existe que par ta marche".

                    Saint  AUGUSTIN


                        La majorité minoritaire, "en même temps" comme dirait Emmanuel Macron, minorité majoritaire sait- elle qu'elle a voté pour ça :

        " J'ai toujours assumé la dimension de verticalité, de transcendance. Mais en même temps, elle doit s'ancrer dans l'immanence complète, de la matérialité" (Journal du Dimanche, février 2017). 

                  On a dit que le nouveau président de la République "marchait sur l'eau", espérons qu'il ne marche pas sur la tête !!  On comprend mieux pourquoi un tiers des français s'est abstenu ou a voté blanc...... 


                   " Macron, un caméléon sur un plaid écossais".

                         André  BERCOFF


vendredi 5 mai 2017

PRÉSIDENTIELLES 2017 : Fin d'un cauchemar !







DIMANCHE PROCHAIN JE RESTERAI AU COIN DU FEU AVEC
LES "MÉMOIRES D'ESPOIR" DU GÉNÉRAL de GAULLE".

                                                     Denis TILLINAC






  " Un jour j'irai vivre en théorie, car en théorie tout se passe bien"  

                                          Pierre DESPROGES

" La majorité a toujours raison, mais la raison a bien rarement la majorité aux élections".

                                           Jean  MISTLER



lundi 1 mai 2017

PRÉSIDENTIELLES : UN DÉNI DE DEMOCRATIE





 " Si Macron est révélateur de l'état de la France, alors le pronostic vital est engagé".

                    Olivier  REY



                          Sans beaucoup d'illusion ce billet s'adresse à tous ces petits bourgeois et ces "cathos mais pas trop" pour qui un catholique pratiquant (" vous vous rendez compte, il va à la messe !...) n'est qu'un "catho facho", qui croient qu'ils vont sauver la France alors qu'ils ne font que la précipiter encore un peu plus dans le chaos économique et la décadence morale, en envoyant  Emmanuel Macron et Brigitte son égérie "plastronner à l'Elysée comme les starlettes au Festival de Cannes" (Denis Tillinac).

                          Sous l'emprise quotidienne des médias aux ordres de la bien-pensance et de la la macronite aiguë qui a accouché "d'un énarque au lyrisme creux qui veut être président d'une entité qui s'appelle la France, mais qui pourrait aussi bien être un club de foot, une start-up ou une variante sectaire du protestantisme américain" (Denis Tillinac, Valeurs Actuelles), ils cèdent à" la peur, à la confusion et à la haine" soigneusement entretenues qui caractérisent "une campagne marquée par une crétinisation sans précédent" (Marin de Viry, Le Figaro) et s'apprêtent ainsi à trahir ce qui faisait une des forces de la Vième République et sa grandeur à l'image de son créateur le général de Gaulle : " l'élection populaire du président de la République pour conforter l'autorité de ses successeurs". Maxime Tandonnet ajoute dans un même article (Le Figaro Vox)

                     " Pour le créateur de la V ième République, l'élection du président de la République était l'expression du lien de confiance entre un homme et la France, chef de la Nation, incarnation de son unité, de l'exemplarité, du prestige, de sa culture, de son histoire. Avec le deuxième tour de ces présidentielles, nous sommes dans la négation même de la présidence gaullienne. Les deux candidats ont peu ou pas d'expérience de l'Etat. Ils se situent dans une logique de table rase sur leur parcours personnel. Leur image n'est pas rassembleuse mais au contraire caractérisée, briseuse, conflictuelle, porteuse de déchirure. L'un est issu de la "droite nationale", un courant situé aux extrêmes de l'histoire politique, l'autre donne l'image de la "France d'en haut", celle des sièges sociaux, du pouvoir médiatique et des cabinets".... " Nous assistons au pire des scénarios: démagogie, hystérie, polémiques, agressivité immature, mégalomanie, inculture, néant du discours et de toute vision, un Grand-Guignol déconnecté du monde réel et roulant à l’abîme. La situation est explosive"...." Nous vivons sans doute dans l'ultime étape du processus de décomposition de l'autorité élyséenne, en cours depuis des décennies"....." Encore faut-il que les Français aient conscience de la tragédie en cours et y réagissent en donnant à la France une majorité stable, indépendante de la foire médiatique que sont devenues les élections présidentielles". 


                                            Le spectacle donné ces derniers jours par le monde médiatico-politique est affligeant, spectacle navrant où la démagogie la plus éhontée des uns n'a d'égale dans le dégoût que la récupération éhontée des autres, tout ceci bien entendu pour "faire barrage au fascisme" dont il est bien connu que la France est le berceau !... Sept millions de français viennent ainsi d'être catalogués comme tels le 23 avril dernier à 20h02 par le tribunal médiatique qui déverse depuis dans tous les organes de presse mis gracieusement à sa disposition des tombereaux d'injures issues du vocabulaire cher au clergé médiatique du politiquement correct : populisme, xénophobie, islamophobie, catho facho, homophobie, etc ...etc... 


" L'homme, toujours plus avide de pouvoir à mesure qu'il en a davantage, et qui ne désire tout que parce qu'il possède déjà beaucoup".

                                 MONTESQUIEU

" Les hommes, si lassants à voir dans les manœuvres de l'ambition, combien sont-ils attrayants dans l'action pour une grande cause! ".

                                 Charles de GAULLE