mardi 28 janvier 2020

ECOLOGIE : ASSEZ DE MENSONGES ET DE DÉMAGOGIE !






" Le triomphe des démagogies est passager. Mais les ruines sont éternelles."

                           Charles PEGUY



            Que de mensonges ! que de démagogie ! Que d’âneries ! au nom de la nouvelle religion altermondialisme : L’ÉCOLOGISME répandue "ad nauseum" par sa grande prêtresse Greta Thunberg odieusement manipulée par ses parents  irresponsables et des gauchistes anti-progrès subventionnés par le milliardaire rouge Soros

            De plus en plus de voix s'élèvent contre cette véritable dictature de la pensée qui, si nous n'y prenons garde, conduira le monde à une catastrophe humaine, sociale et économique.


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              L’interview de Laurent Alexandre, médecin et entrepreneur, siffle la fin de la récréation ! Sera-t-il écouté, rien n'est moins sur.....:

   
 Réf. : Valeurs Actuelles 16 janvier 2020


Valeurs actuelles.
 « Comment avez-vous découvert la figure de Greta Thunberg et pourquoi avez-vous jugé important de commenter ses déclarations ? »

Laurent Alexandre.
                        « Je l'ai découverte, comme tout le monde, lors de la grève de l'école. J'ai rapidement vu que le courant collapsologique croissait très vite notamment chez les jeunes. Lors du World Economic Forum, Greta Thunberg a tenu des propos terribles : « Pourquoi étudier pour un futur qui bientôt n'existera plus ? » Cette pensée apocalyptique dépressive est catastrophique pour la jeunesse. J'ai été consterné de voir que, lâchement, les adultes laissaient cette vision se déployer dans la société.

                         Les écologistes européens produisent à jet continu des prophètes annonçant la fin du monde. La militante Fred Vargas explique qu'à 1,5 °C de plus, la moitié de l'humanité mourra du réchauffement climatique et 6 milliards à + 2 °C. Dans le Parisien,
Yves Cochet, ministre de l'Environnement de Lionel Jospin, prédit l'effondrement inéluctable de notre société : « Pour les effondristes comme moi, explique-t-il, il y a une chance sur deux que l'humanité n'existe plus en 2050. […] Au lieu d'être 10 milliards en 2050, on ne sera que 2 ou 3 milliards. »

                          Par démagogie, les médias ont obéi à l'injonction de Greta Thunberg : « Je veux que vous paniquiez. » Par exemple, les feux amazoniens ont été l'outil d'une dramatisation apocalyptique encouragée par Macron qui a diffusé des contre-vérités terrorisantes pendant le G7 de Biarritz. Ce discours vise en réalité à nous faire accepter la fin de l'économie de marché et du libre-échange. J'ai débattu à la télévision avec les ambassadeurs français de Greta Thunberg : ils ne sont pas verts, ils sont rouge vif… »

Comment jugez-vous son action sur la forme : appel à la grève scolaire et, plus largement, mobilisation de la jeunesse ?

                   « Greta Thunberg est la réussite marketing de la décennie : le jeunisme fait des ravages chez les bien-pensants. La stratégie menée par ses parents est géniale. En révélant son lourd dossier psychiatrique, ses parents en ont fait un bouclier humain inattaquable.
Mettre en avant des enfants présentant une souffrance est répugnant mais d'une efficacité redoutable.

                    Les libéraux sont tétanisés, craignent d'être traités de “vieux cons” et se taisent. Les prêcheurs d'apocalypse ont donc trouvé l'égérie parfaite : aucun recul, aucun esprit critique, aucun sourire, aucun humour, aucune capacité à résister à la manipulation et un discours naïf, répétitif et hypnotique. Ne tombons pas dans le piège machiavélique que nous ont tendu les officines qui ont fabriqué le “produit Greta Thunberg” : il faut certes protéger Greta, qui est une victime manipulée, mais nous devons combattre sans relâche les idées qu'elle véhicule. »

Sur le fond, que faut-il penser de son propos, à savoir l'idée selon laquelle le mode de développement des sociétés occidentales conduirait le monde à sa perte via le changement climatique ?

                      « 2019 a été la plus belle année de l'histoire de l'humanité. Tous les critères de développement humain sont au vert. Le taux d'extrême pauvreté n'a jamais été aussi bas, d'alphabétisation, aussi élevé. Le niveau de vie moyen est plus fort que jamais. L'espérance de vie mondiale a plus que doublé depuis 1900 et a atteint un sommet absolu. La mortalité infantile est plus basse qu'elle ne l'a jamais été. La mortalité par catastrophe naturelle et par maladie infectieuse est au plus bas également.

                      L'exemple des catastrophes naturelles est le plus emblématique de la folie verteIl est fascinant de constater que grâce aux médias les activistes ont convaincu l'opinion que le réchauffement climatique s'accompagne d'une explosion du nombre de victimes de catastrophes naturelles. En réalité, entre le pic de 1931 et l'année dernière, ce chiffre s'est effondré : 4 millions de morts en 1931, 10 000 en 2019 ! Compte tenu du triplement de la population mondiale depuis les années 1930, cela correspond à une division par 1 000 du nombre de victimes humaines des catastrophes naturelles. »

Comment analysez-vous l'évolution récente du discours de Greta Thunberg ?

                     « Le déplacement de son discours de la lutte contre le CO2 vers le gauchisme intersectionnel est spectaculaire. « Des systèmes d'oppression patriarcaux, colonialistes et racistes ont créé et alimenté la crise climatique. Nous devons les démanteler », a-t-elle écrit le 29 novembre dernier. L'icône suédoise est passée de la défense des coquelicots à un discours que les Indigènes de la République ne désapprouveraient pas. »

Y a-t-il d'ores et déjà des conséquences concrètes à “l'effet Greta” ?

                       « Un courant politique illibéral, anti-progrès, malthusien et gauchisant s'impose en Europe. De surcroît, les écologistes sont ethnomasochistes : ils proposent la disparition de la civilisation occidentale pour laisser la place aux migrants. 
                        Dans l'Obs du 3 janvier 2019, Yves Cochet, encore lui, explique : « Ne pas faire d'enfant supplémentaire, c'est le premier geste écologique. Les pays riches sont les premiers à devoir décroître démographiquement et la limitation des naissances nous permettrait de mieux accueillir les migrants qui frappent à nos portes. »

                        Les soutiens de Greta Thunberg, comme l'astrophysicien Aurélien Barrau, expliquent : « Les pays à haute croissance démographique sont plutôt des pays pauvres et on imagine aisément la forme de colonialisme que représenterait le fait de leur imposer un mode de vie orthogonal à leurs attentes. » Des jeunes déclarent sur les réseaux sociaux : « Je ne veux pas faire d'enfant, pour diminuer mon empreinte CO2… » C'est désolant puisque - hors immigration - la population s'effondre en Europe, contrairement à l'Afrique qui va dépasser 4 milliards d'habitants à la fin du siècle. L'urgence n'est pas de pousser les adolescents européens à se faire stériliser, c'est de les convaincre de faire plus de bébés et de promouvoir le planning familial en Afrique subsaharienne. »

Nominée pour le Nobel de la paix, elle n'a finalement pas été choisie ; son étoile pâlirait-elle ? Où la voyez-vous dans dix ans ?
                       « J'espère que son état psychologique se sera amélioré et que son hyper médiatisation organisée par des parents irresponsables ne l'aura pas abîmée ».    

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              Le réchauffement climatique actuel n'est pas dû à l'homme mais au déroulement classique des différentes périodes, glacières et caniculaires, que notre Terre à déjà connues tout au long de sa très longue histoire, notamment du fait des épisodes d'instabilité du système solaire. 
  
              PAR CONTRE l'homme a un rôle important à jouer pour rendre cet épisode "chaud" aussi   "doux" que possible, notamment en inventant et mettant en oeuvre des solutions efficaces pour diminuer, voire supprimer, les conséquences humaines et matérielles des catastrophes naturelles, inhérentes à ces épisodes climatologiques extrêmes, chauds actuellement, froids dans un futur lointain.

       "Cela demande un investissement massif dans l'innovation et dans la croissance verte. Ce n'est pas la décroissance mais l'innovation qui sauvera le monde, car nous le voulions ou non, nous ne pourrons jamais empêcher ni la croissance démographique, ni interdire aux milliards d'individus qui sortent de la misère du tiers-monde ou des pays communistes de vouloir se développer autant que nous l'avons fait nous-mêmes au cours de XX iem siècle."
         Élaborer, pour eux comme pour nous, les solutions scientifiques de l'avenir est le seul et unique moyen de faire avancer les choses en matière d'écologie. ..    ....Sans capitalisme, il n'y a d'innovation, et ajouterai-je, de croissance verte, voire dépolluante, de sorte que l'anticapitalisme vert nous réserverait l'avenir le plus désastreux qui soit s'il parvenait un jour à s'imposer dans les esprits."

(Luc Ferry, Le Figaro , 16 janvier 2020)

                      Messieurs les politiques laissez les industriels et les scientifiques responsables (pas ceux du GIEC, bras armé de l'écologisme  et de la décroissance) agir pour un développement harmonieux de notre belle planète comme il l'ont toujours fait au cours des siècles. Cela demande des efforts, des sacrifices parfois, mais aussi beaucoup de bon sens et de savoir faire.

" Quand l'homme essaye d'imaginer le Paradis sur terre, ça fait tout de suite un Enfer très convenable."

                  Paul CLAUDEL





lundi 13 janvier 2020

RETRAITES : LE NAUFRAGE




    " La France, un paradis peuplé de gens qui se croient en enfer."

                           Sylvain TESSON

                       Macron, Philippe, qu'avez-vous fait de notre beau pays de France où "le ressentiment a pris la relève de la lutte des classes" (Marc Ferro) ?

                      Quelle accumulation d'erreurs, que de maladresses et de mensonges! A vouloir harmoniser 42 régimes de retraites en imposant un "régime universel à points" simpliste et ignorant de la réalité du monde du travail, vous avez péché par arrogance, amateurisme et incompétence à la fois. L'impréparation du projet est criante. "Le gouvernement bricole puis rebricole ce qu'il a bricolé" (Nicolas Bouzou) laissant alors la part belle aux mensonges éhontés des adversaires de cette réforme et au n'importe quoi des soi-disant experts qui se répandent chaque jour avec suffisance dans les médias trop contents de gonfler leurs audiences. 
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                        Le résultat est édifiant : un pays à l'arrêt depuis 40 jours, une réforme qui non seulement coûtera encore plus cher que le système précédent, mais aussi maintiendra, sous un autre nom, la flagrante injustice que représentent les régimes spéciaux, devenus pour l'occasion "spécifiques" (!). Une fois de plus les vrais sinistrés des régimes actuels, agriculteurs et femmes seules notamment, seront les dindons de cette triste farce et n'auront que leurs yeux pour pleurer, car eux, les plus fragiles de notre société, n'ont pas la possibilité de bloquer le pays comme les privilégiés de la fonction publique....

                        Bravo monsieur le Président ! même en surjouant le "bobo populiste bon chic, bon genre", vous avez lamentablement échoué. Vous avez plombé la France pour longtemps et rendu impossible la croissance économique indispensable au pays pour assurer le bien être de ses habitants, y compris, mais pas seulement, une retraite prospère !

                       Votre tâche n'était pas facile certes dans un pays  où "la vie commence quand le travail est terminé !" (Nicolas Bouzou).Mais ne pas se rendre compte, malgré 20 mois de concertation, que nous vivons dans un pays d'assistés pour qui la retraite est le rêve de leur vie et le travail une punition, est une faute politique grave et impardonnable. 

           Pour conclure dans la joie et la bonne humeur :

  Parole d' "expert": "On voit très bien qu'on est encore dans le flou" !....
  Bon sens populaire : "Ce qui est clair c'est qu'on n'y comprend rien!"...


       "Rendez les choses aussi simples que possible, mais pas plus simples."

                            Albert EINSTEIN