jeudi 30 mai 2019
F.X. BELLAMY : MERCI !
" La première de toutes les choses est de sauver la patrie."
Charles de GAULLE
Merci François-Xavier BELLAMY pour votre belle campagne électorale pleine d'intelligence, de loyauté et d’honnêteté au cours de laquelle, face au cynisme et au mensonge du monde politique actuel, vous avez défendu, fidèle à vos convictions, des valeurs intellectuelles et morales, une exigence de vérité et de courage.
Dans la défaite vous avez su gardé votre honneur contrairement à vos "amis" de circonstance qui dès le résultat connu vous ont poignardé dans le dos ( n'est-ce pas Monsieur Geoffroy Didier et Madame Valérie Pécresse !...).La bourgeoisie urbaine, jamais avare de trahison, a retourné sa veste au nom de ses intérêts, mais ceux qui sont restés fidèles à la droite républicaine, libérale, souverainiste et catholique peuvent en être fiers. Ils n'ont pas lâchement cédé aux sirènes du progressisme et au climat délétère d'abêtissement de masse, de dissimulation et de mensonge qui menace notre démocratie et l'unité de notre pays. "Etre minoritaire ne signifie pas avoir tort moralement,intellectuellement" (Max Tandonnet).
Vous avez compris que la seule grande perdante de cette élection c'est la France et que tout est à reconstruire. Notre pays a besoin d'un homme comme vous, "Mozart chez les rappeurs"..., mais homme providentiel face à la police de la pensée qui sévit actuellement, dont la hauteur de vue, qui n'empêche pas le réalisme, l' adhésion à notre héritage civilisationnel et le conservatisme sociétal de bon aloi (non, ce n'est pas un gros mot messieurs les "progressistes" !..) sont les garants du renouveau de notre pauvre pays abîmé par des décennies de lâchetés et de compromissions.
Continuez votre combat !
" Vingt siècles d'histoire sont là pour attester qu'on a toujours raison d'avoir foi en la France."
Charles de GAULLE
"J'ai appris à ne pas croire à l'intelligence: la preuve, il n'y a plus qu'à Normale Sup qu'il reste des marxistes léninistes!".
François-Xavier BELLAMY
mardi 28 mai 2019
ECOLOGIE PUNITIVE : LA RIPOSTE, ENFIN !
"Il n’y a rien de plus puissant qu’une idée dont l’heure est
venue".
Victor HUGO
Face à l’incroyable
inconséquence des khmers verts, fous furieux de l’écologie punitive et mortifère
qui menace notre civilisation, les langues se délient et la riposte s’organise,
enfin ! Après un livre paru en mars dernier, "La physique du climat " de Jacques Moranne et Camille Veyres, un nouveau
livre vient de paraître sous la plume de Bruno
Durieux : " Contre l’écologisme. Pour une croissance au service de l’environnement ".
A noter que ni l’aristocratie étatique ni le clergé médiatique qui s’arrogent
le droit de faire la pluie et le beau temps dans notre beau pays n’ont fait
écho à ces deux documents ! .....
Ce plaidoyer climatoréaliste est présenté avec brio
dans la rubrique « Livres et Idées »
du Figaro.
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Réf. : "L’écologie, une chose trop grave pour
la confier à des écologistes", Le Figaro (27 mai 2019)
" Tout
le monde en est d’accord : "L’homme ne vit que des ressources de la nature.
Que celles-ci viennent à se dégrader, s’épuiser, disparaître, et c’est sa
santé, son existence qui sont en jeu." Bruno Durieux prend bien soin de le
préciser dans l’avant-propos de son livre : Contre l’écologisme, pour une croissance au
service de l’environnement.
Ce polytechnicien, qui fut conseiller économique de Raymond Barre à
Matignon, plusieurs fois ministre (Santé, Commerce extérieur), maire de Grignan
depuis vingt-cinq ans, sait qu’il s’attaque à forte partie : "L’écologisme, un militantisme d’opinion, une doctrine
politique qui s’approprie l’écologie." La seule science, dit-il, qui "ait donné son nom à des mouvements ou partis
politiques".
Il vise d’abord à dénoncer ce détournement des recherches des écologues
qu’il défend pleinement, au profit d’une idéologie et d’un combat politique
qu’il réprouve. Ainsi la députée Delphine Batho, déclarant en janvier 2018
: "L’écologie est la nouvelle ligne d’affrontement avec le capitalisme." De
façon encore plus radicale, "l’écologie profonde", telle que la conçoit le
philosophe norvégien Arne Naess, "conteste la vision anthropocentrique de la
vie héritée du judéo-christianisme pour lui substituer un bio-centrisme qui pose
que toutes les sortes de vie se valent".
L’écologisme a émergé au début des années 1970 dans la mouvance de la
gauche américaine et des hippies. Suite à l’effondrement du communisme et à
l’affaiblissement des social-démocraties dans la décennie 1990, s’ouvre alors
un immense espace politique laissé vide qui s’élargit aux « nouvelles droites »
et même à certaines personnalités du Rassemblement national.
Bruno Durieux décrit son
hégémonie culturelle et ses relais parfois surprenants. "On se souvient de
l’éclat fulgurant du “notre maison brûle et nous regardons ailleurs" qu’un
Jacques Chirac inattendu lance en 2002 au Sommet de la Terre de Johannesburg,
rappelle-t-il. Avec dans la foulée, le "principe de précaution" dont il regrette la
tyrannie et qui a été inscrit dans le socle de notre Constitution en 2005, cas
unique au monde.
Le livre s’attache à dénoncer les prophéties apocalyptiques qui depuis un
demi-siècle ont toutes été démenties par les faits. Le célébrissime Club de Rome, regroupant des
dirigeants européens de la politique et des affaires, associés aux économistes
américains du MIT, publia son rapport à 12 millions d’exemplaires
annonçant l’épuisement des matières premières. Or il n’a cessé d’être contredit
par la découverte de nouvelles réserves.
En 1968, La Bombe P, 7 milliards d’hommes en l’an 2000, du
biologiste californien Paul Ehrlich, pronostiquait des famines qui n’ont jamais eu lieu.
« Le progrès scientifique et technique a sèchement démenti le malthusianisme
écologiste. L’Inde est passée de 500 millions à 1,3 milliard
d’habitants, son économie a décuplé, sa production de blé a quintuplé », note
Durieux. "Le monde va de mieux en mieux", écrit-il, s’appuyant sur une pléiade
de statisticiens (Rosling), économistes (le Nobel Deaton), philosophes (Serres)
qui se sont tous employés à dénoncer le lamento du "C’était mieux avant !". Il
reconnaît que "le réchauffement (climatique) est un fait établi", mais c’est
pour mieux opposer "le déni selon Trump et l’obsession du CO2 selon le GIEC". Sa conclusion est
roborative et sereine :
" Seule la
croissance économique, condition du développement des nouvelles technologies,
permettra de s’adapter au réchauffement et si possible de le maîtriser. "
LE MOT DE L’EDITEUR :
"Si l’écologie est une
science rigoureuse, l’écologisme est son contraire. C’est une
idéologie de combat dressée contre l’économie de
marché. Elle émerge au cours des années 1970, dans la mouvance
de la gauche américaine. Les "nouvelles droites" s’y retrouvent également.
Les milieux populaires la rejettent. Son hégémonie médiatique est écrasante.
Pourtant, aucune de ses prophéties catastrophistes ne s’est concrétisée.
Au lieu des désastres annoncés et ressassés : famines, épuisement des
ressources naturelles, disparition de la biodiversité, pénurie d’eau, etc.,
l’humanité enregistre des progrès spectaculaires (même s’il reste encore
beaucoup à faire).
Malgré les cinglants démentis que les faits leur opposent, les écologistes poursuivent inlassablement leur pastorale de la peur et multiplient les victoires politiques. Ces trophées sont, en dépit des apparences, autant de périls pour la planète.
Hyper-malthusianisme contemporain, l’écologisme ne voit d’autre solution pour "sauver" la planète que d’imposer la"décroissance productive" et "la frugalité heureuse". Il récuse la croissance économique quand tout démontre qu’elle est la seule voie de salut. Les immenses réserves d’intelligence qui permettraient l’épanouissement de dix milliards d’individus risquent d’être pétrifiées. Est-ce vraiment le retour à l’Âge d’or qui nous est promis ?".
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Puissent ces voix qui s’élèvent pour dénoncer la
véritable tyrannie écologique qui met en péril la vie quotidienne de nos
concitoyens et l’avenir de nos enfants, être entendues et permettre un dialogue
apaisé et constructif entre gens raisonnables et compétents dont le seul objectif
est de conserver ce fragile équilibre entre le progrès profitable à tous et la protection de notre bonne vieille Terre ….
" La conviction est la volonté
humaine arrivée à sa plus grande puissance ".
Honoré
de BALZAC
dimanche 26 mai 2019
CLIMAT : BON SENS ET THERMODYNAMIQUE
"OUBLIEZ L’« EFFET DE SERRE » ET REVENEZ AUX FONDAMENTAUX !"
Jacques-Marie MORANNE
La raison et le bon sens s'expriment enfin et la culture scientifique reprend ses droits! En réponse au délire médiatique et à la dictature de la pensée qui sévissent depuis des années et nous annoncent un désastre écologique dont notre planète Terre ne se remettrait pas, des scientifiques indépendants, non politisés, non avides de crédits,de contrats, de voyages, d'honneurs et de promotions, mais à la recherche de la vérité scientifique, rien que la vérité, viennent de publier un livre remarquable :
"La physique du climat", disponible gratuitement sur le site internet :
Ce livre remet en cause un certain nombre d'idées reçues, en le justifiant, à la fois par le bon sens et les lois de la thermodynamique. Bien entendu aucun média n'a parlé de cet ouvrage dont la rigueur scientifique n'a d'égale que l'honnêteté intellectuelle de ses auteurs. On est loin de la manipulation des esprits orchestrée par les médias sous le haut patronage du GIEC. Comment ne pas être horrifié par le spectacle honteux de cette pauvre jeune lycéenne écolo suédoise sous influence, Greta Thunberg, baladée comme un objet de foire dans le monde entier pour nous mettre en demeure de soi-disant "sauver la planète"?....Comment ne pas s'inquiéter de cette folie écologique délirante et répressive qui conduit les gouvernements à envisager de supprimer la voiture à moteur thermique dès 2040 et à émettre l'idée que voyager en avion est une agression envers la planète?...
Ressaisissez-vous messieurs les dirigeants du monde et prenez le temps de lire ce livre avant que vous ne preniez des décisions irréversibles qui, pour le coup, entraîneront les habitants de notre Terre vers un désastre, non pas écologique mais social et moral.
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Réf : « La physique du climat » de JM. Moranne et C. Veyres
Préface de François Gervais
"À
la base de ce qu’il est convenu d’appeler l’effet de serre atmosphérique, sont incontournables l’absorption et
l’émission d’un rayonnement thermique par les vibrations d’une molécule
gazeuse. Dans le cadre d’une description quantique, on parlera de l’absorption
et de l’émission d’un photon. Ces phénomènes relèvent de la Physique. Les
molécules de l’air comportant au moins deux atomes différents, par exemple
oxygène et hydrogène dans le cas de la molécule de vapeur d’eau, carbone et
oxygène dans le cas de la molécule de dioxyde de carbone CO2, carbone et
hydrogène dans le cas du méthane, sont ainsi le siège de vibrations atomiques
capables d’absorber et d’émettre un rayonnement thermique. Ces vibrations
s’observent dans la gamme infrarouge du spectre électromagnétique. Cet ouvrage
décrit en détail ces mécanismes, essentiels pour comprendre la physique de
l’atmosphère et ses implications dans le climat. A l’inverse et fort
étrangement, on ne trouve pas trace de spectre infrarouge de l’atmosphère dans
les quelque 1500 pages du dernier rapport AR5 du GIEC… De ce point de vue, cet ouvrage pallie
une grave lacune.
La climatologie devrait-elle
rester réservée aux climatologues comme l’insinuent certains médias qui ont trop
souvent tendance à la monter en épingle dans
le cadre d’un débat non plus
scientifique mais largement politisé
?
Le mot-clé « climatologie » est
l’un des 55 qui définissent le champ d’application des enseignements et des
recherches dans le cadre de la section 23 « Géographie physique, humaine,
économique et régionale » du Conseil National des Universités. Autant les
universités savent définir pour éventuellement le recruter les compétences d’un
mathématicien, d’un physicien, d’un chimiste, d’un biologiste, d’un géographe,
autant la climatologie apparaît-elle ainsi à sa vraie place, une
sous-discipline de la Géographie parmi 54 autres. Combien d’auteurs des
rapports du GIEC, le
Groupe d’Experts (traduction un peu pompeuse du titre anglais « Panel »)
Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat, justifient-ils d’une thèse en
climatologie ? En tous cas, ni son Président actuel, ni le précédent. Les auteurs du GIEC ont généralement fait leur thèse dans
d’autres disciplines et ont pris en marche le train du climat, devenu très
politisé, promesse de crédits, de budgets, de contrats, de voyages, d’honneurs
et de promotions. Arrhenius, lauréat du Prix Nobel de Chimie
en 1903, à qui l’on attribue généralement la paternité de l’effet de serre
atmosphérique, était-il « climatologue » ?
On reconnait la griffe de Camille Veyres dans certaines portions de ce texte et
certaines figures. J’ai rencontré Camille en 2014 pour réaliser que, sans se
concerter, l’un comme l’autre avions développé une recherche parallèle aux
conclusions assez similaires. Cette rencontre dans un café près du Palais
Brongniart à l’invitation du Groupement HEC Alumni Géostratégies préludera à la
formation du groupe des « Grogniarts du
CO2 », aujourd’hui considérablement élargi et devenu l’Association des
climatoréalistes. J’ai pour ma part publié ces conclusions dans l’International
Journal of Modern Physics puis dans Earth Science Reviews.
Cet ouvrage, plus détaillé et plus pédagogique
que le caractère parfois un peu abscons d’articles scientifiques en anglais,
est ainsi le bienvenu. Il devrait intéresser ceux qui savent lire une courbe,
un graphique, une équation, donc encore beaucoup de monde, et fort
heureusement. Espérons en ce sens qu’il contribuera à combattre une désaffection grandissante et dommageable
pour la Culture scientifique.
L’éclosion du printemps est un ravissement.
Dans notre hémisphère, durant les saisons printanière et estivale, il
s’accompagne d’une chute de quelque 55 milliards de tonnes de CO2 dans
l’atmosphère, nourrissant une végétation en pleine croissance. C’est
l’oscillation saisonnière de Keeling, mesurée précisément par spectrométrie
infrarouge. L’amplitude de cette chute s’accroît plus vite à La Jolla en
Californie que le taux de CO2 dans l’air, témoignant d’une végétation encore
sous-alimentée. Aussi indispensable à la végétation qu’irremplaçable, le CO2
est tout le contraire d’un polluant, c’est un fertilisant.
Ignorant ou occultant ce bénéfice, les marchands de peur
vivent au dépend des anxieux qui les écoutent. Un matraquage médiatique devenu
proprement insupportable amplifie cette inquiétude insidieusement entretenue. Comment résister à une telle propagande ? Comment se prémunir
contre une peur devenue instrument
de pouvoir ? Un excellent remède
est de s’informer sur la Physique du climat grâce à cet ouvrage.
Son tour de force est de toujours rester
accessible sans pour autant tomber dans le travers d’une vulgarisation
exagérément simplifiée, au point qu’elle pourrait en devenir trompeuse. On ne
peut qu’encourager le lecteur à la petite gymnastique intellectuelle consistant
à se plonger dans cette présentation, puis, si comme nous l’espérons il en a
tiré le bénéfice souhaité, à la faire connaître et à la diffuser."
François
Gervais
Professeur émérite à l’Université de Tours
Ancien Directeur de Recherche
CNRS au Centre de Recherche sur la Physique des Hautes Températures, Orléans
Ancien Directeur de l’UMR CNRS 6157 Expert
Reviewer du rapport AR5 du GIEC 28 mars 2019
.1. Pourquoi cet ouvrage ?
"Lorsque le suédois Svante Arrhenius (prix Nobel de chimie
1903) théorisa l'Effet de Serre Atmosphérique, dans un article intitulé « De
l'influence de l'acide carbonique dans l'air sur la température au sol »,
publié en 1896, on croyait encore que les ondes électro-magnétiques se
propageaient dans un "Ether solide".
Il
faut noter qu'Arrhenius, lui, n'y voyait que des effets positifs, les périodes
chaudes ayant toujours été des périodes prospères, et le CO2 ne pouvant
qu'être bénéfique à l'agriculture (alors que nous n'y voyons, nous, que des
effets négatifs, au point de considérer le CO2 comme un "polluant" :
les temps changent).
A
l'époque, il estime qu'un doublement du taux de CO2 causerait un réchauffement
d'environ 5 °C (soit un peu plus que les prévisions de 2 à 4,5 °C faites par le
GIEC plus de cent ans plus tard, en 2007, sur la base de cette même théorie).
(Mais les spectres d’absorption de la vapeur d’eau et du dioxyde de carbone
employés par Arrhenius étaient, aux longueurs d’onde de l’infrarouge thermique
extrêmement erronés ; avec les spectres corrects connus depuis les années 1920
les calculs d’Arrhenius donnent +0,2°C (plus deux dixièmes de degré Celsius)
pour un doublement des teneurs de l’air en dioxyde de carbone.)
Paradoxalement,
un siècle plus tard, on ne croit, bien entendu, plus à l'"Ether
solide", mais on n'a jamais remis en question les fondements de cette
théorie de l'Effet de Serre atmosphérique, qui est à la base de l'explication
actuelle du réchauffement climatique d'origine humaine.
Bien sûr, personne ne peut nier que la température se soit élevée
au cours des 50 dernières années (auparavant, dans les années 70, on
croyait plutôt à un refroidissement, voire une nouvelle glaciation) :Moyenne
sur tout le globe de moyennes mensuelles de températures mesurées de la basse
troposphère entre la surface et 2 km depuis 1978 par des appareils observant le
rayonnement infrarouge des molécules d’oxygène, appareils embarquées sur divers
satellites ; cette moyenne est exprimée en écart, mois par mois, de
la température moyenne du mois par rapport à la moyenne du même mois calculée
sur 1980-2010.
Source
: http://www.drroyspencer.com/
.. Néanmoins,
pas aussi vite
que les modèles informatiques de calcul du climat le laissaient prévoir :
Lorsque
la réalité s'écarte significativement des modèles, deux attitudes sont
possibles :
1- considérer que, la science étant
"établie", l'écart est transitoire (voire faux), et que la réalité
rattrapera les modèles (autrement dit, accorder plus de foi aux modèles qu'à la réalité) : c'est l'attitude politico-médiatique et
quasi-religieuse de certains pays comme la France.
2- considérer, comme le ferait n'importe
quel scientifique, que cet
écart nécessite à tout le moins une
explication, et donc une remise en cause possible
de la physique qui sous-tend ces modèles, d'autant que le climat a montré dans
le passé qu'il était soumis à des variations significatives (optimum médiéval
autour de l'an 1000, petit âge glaciaire 1300 à 1850).
En fait, personne ne sait
exactement comment sont faits les programmes informatiques de modélisation du
climat : certains prétendent que ce sont des extrapolations des programmes de
modélisation de la météo, mais ces derniers, conçus pour prévoir le temps
localement sur des durées de quelques jours, ne sont pas qualifiés pour
intégrer des variations annuelles de concentration du CO2, considéré comme
l'acteur principal du réchauffement climatique, ni des cycles climatiques,
également pluriannuels, ni les îlots de chaleur urbains qui se constituent en
plusieurs dizaines d'années.
Et
donc, il nous est apparu important de remettre les choses à plat : notre but est d'expliquer le fonctionnement du Climat (et non pas de la météo), en nous appuyant sur le bon
sens, et en repartant des Lois physiques et chimiques de base de la
Thermodynamique, qu'on apprend dès le lycée et qui reposent sur des théories
validées par l'expérience, et auxquelles la climatologie ne saurait déroger.
Par
ailleurs, même si nous y consacrons un paragraphe, nous éviterons délibérément
de parler d'"Effet de serre", de "rétroaction", de
"forçage", termes qui s'apparentent plus à des slogans, et qui
peuvent laisser présupposer l'existence d'une théorie climatique particulière
qui permettrait de faire abstraction de la physique fondamentale du climat :
s'il existe un "Effet de serre", il s'appuie nécessairement sur des
fondements physiques, sans qu'on ait besoin de le nommer ; par ailleurs, une
serre conventionnelle fonctionne essentiellement par blocage de la convection,
ce qui va à l'encontre du fonctionnement de l'atmosphère : l'analogie est très
mal venue.
De
même, nous éviterons de parler de "gaz à effet de serre",
pour qualifier les gaz qui ont la propriété d'absorber tout ou partie des
Infra-rouges thermiques émis par des corps aux températures terrestres : ces gaz agissent en effet de
façon fort différente les uns des autres, et les classer dans une même
catégorie n'a pas de sens.
Enfin,
on y verra que les lois physiques remettent en question un certain nombre
d'idées reçues, et même bien ancrées, ... ce qui n'a rien d'étonnant : la Climatologie est à l'origine une activité purement descriptive, qui relève essentiellement
des Sciences naturelles et de la Géographie, et non pas de la Physique."
1.2.
Démarche
"Le présent ouvrage est destiné à un
public aussi large que possible : il nécessite des connaissances de base de thermodynamique,
mais c'est un ouvrage de vulgarisation qui devrait intéresser ceux qui sont
intéressés par les mécanismes, qui y trouveront des explications exprimées en
langage que nous avons souhaité simple et compréhensible.
Il
est néanmoins adossé à des annexes techniques plus fouillées où le lecteur
averti et moins pressé trouvera des compléments et des approfondissements,
permettant de creuser les démonstrations physiques et mathématiques, et d'aborder
les aspects "quantitatifs"."
1.3.
Diffusion, évolutions, et commentaires
"A l'inverse de beaucoup de
"scientifiques", nous ne considérons pas que la Science est établie
("settled") : le sujet est rendu complexe par le nombre de
disciplines scientifiques qu'il englobe, et par la complexité même de la Terre,
de son atmosphère, et de ses océans ; et donc :
1. Cet ouvrage est destiné à être diffusé
largement et donc gratuitement :
les auteurs l'ont écrit par simple conviction scientifique, et n'en attendent
pas de rémunération : et donc il est libre de droits (il ne s'agit finalement
que de physique).
Faites-le connaître et diffusez-le le plus largement autour de
vous : ce sera notre plus
belle récompense.
2.
Nous sommes ouverts aux critiques, dans la mesure où elles enrichissent le
débat scientifique ; et sa publication sur Internet (https://laphysiqueduclimat.fr) est ouverte aux commentaires
(néanmoins modérés).
3.
En fonction de cela, l'ouvrage est sans doute appelé à évoluer : il sera doté
d'un indice de révision qui identifiera et qualifiera ces évolutions.
4.
C'est la raison pour laquelle il est uniquement disponible sous format
électronique (pdf)."
1.4.
L'auteur
"Le
présent ouvrage est le résultat d'un travail d'équipe ; la rédaction en a
été effectuée par Jacques-Marie Moranne.
Jacques-Marie
Moranne est ingénieur de l'Ecole Centrale de Lille (1969). Il a
pratiqué la plupart des métiers d'ingénieur, depuis l'engineering (génie
chimique), jusqu'à la création et la direction d'une société d'informatique, en
passant par la maintenance, l'organisation et les méthodes, la CAO, les Bases
de Données associées, aussi bien dans des grandes sociétés (Air Liquide, Elf,
Areva, Saint-Gobain), que des petites.
Jacques-Marie Moranne était au départ, et jusqu'à la
COP de Copenhague, climato-alarmiste, mais les contradictions, à la fois
factuelles, et physiques, ont éveillé son esprit critique, et l'ont
progressivement amené à douter, puis à creuser la physique sous-jacente, avec
l'aide de spécialistes indéniables, à l'instar de Camille Veyres, qui a fourni l'essentiel de la matière de
cet ouvrage, et qui est l'auteur des annexes techniques auquel il est adossé.
Jacques-Marie
Moranne est membre de l'Association des Climatoréalistes. Jacques-Marie
Moranne ne se prétend pas climatologue, mais la Physique du Climat, c'est avant
tout de la Thermodynamique appliquée ; et la formation d'ingénieur en fournit
toutes les bases nécessaires."
Conclusions
« La physique (et le bon sens)
contre disent un certain nombre d'idées reçues et véhiculées en particulier par
la plupart des médias.
En
particulier :
- L'Effet de Serre par rayonnement du bas vers le haut,
puis rétro-rayonnement du haut vers le bas n'existe pas, que ce soit dans une
serre conventionnelle (qui fonctionne par blocage de la convection), ou dans l'atmosphère.
- Les -18°C d'une Terre sans
"gaz à effet de serre" sont un mythe :
une Terre sans atmosphère aurait une température moyenne beaucoup plus basse
(probablement de l'ordre de -50 à -60°C) : la moyenne sur la Lune est de -80°C.
- C'est le Gradient Thermique Gravitationnel, lié au poids de
l'atmosphère (et non à sa composition chimique), qui, du fait d'une
augmentation de 6,5°C/km à partir de la Tropopause, explique que la température
à la surface de la Terre atteigne 15°C en moyenne.
- C'est l'évaporation qui est le principal
régulateur de la température en surface (océanique à 71%) (7%, soit plus de 6,5
W/m 2 par °C d'écart).
- Si la concentration en CO2 venait à doubler, il en
résulterait une augmentation de température en surface de moins de 0,5°C : on
est très loin des prévisions alarmistes allant jusqu'à 5°C et plus.
- La vapeur d'eau a
un effet régulateur (feed-back négatif) et non pas amplificateur.
- Si la température
s'est élevée de 1°C en un siècle, il faut en rechercher les causes ailleurs que
dans la concentration de CO2.
- Le climat subit
des cycles ; la méconnaissance de ces cycles fausse toutes les conclusions
qu'on peut tirer des observations.
- Le climat est
chaotique, et il est impossible de tirer des conclusions localisées
(augmentation ou diminution de la pluviométrie à tel endroit, par exemple)
(sauf peut-être à faire intervenir des techniques d'intelligence artificielle (http://knowledgeminer.eu/)
?).
-
... Et d'une façon
générale, les observations sont encore insuffisantes pour en tirer une théorie
du réchauffement climatique indiscutable qui justifie le réchauffement
actuellement constaté.
Même s'il est impossible dans un tel
ouvrage de pousser les calculs comme le feraient des programmes de simulation,
les ordres de grandeur sont là, et une simulation qui donnerait des résultats
très différents devrait être remise en cause.
"L'atmosphère
terrestre ayant par le passé subi des transformations bien supérieures à celles
qui sont envisagées s'est comportée comme un système stable, la biosphère s'est
également adaptée, et le catastrophisme médiatique apparaît donc comme irrationnel.
Nous ne pouvons combattre une pensée magique par la théorie, seulement par le bon
sens. C'est seulement lorsque le dogme prétend s'appuyer sur la science qu'il
faut en montrer toutes les insuffisances." (Lionel Fischer, relecteur)
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samedi 11 mai 2019
OTAGES FRANÇAIS : HONTEUSE RECUPERATION
" Le seul bien qui me reste au monde est d'avoir quelquefois pleuré."
Alfred de MUSSET
La France pleure deux magnifiques soldats qui ont donné leurs vies pour sauver celles de deux irresponsables "en voyage de noces" (!) dans le nord du Bénin, pays classé "zone rouge" par le ministère des Affaires étrangères ce qui signifie : région où il ne faut pas aller, où on prend des risques majeurs si on y va ! Les risques insensés pris par ces tristes personnages pourraient être assimilés à une "mise en danger de la vie d'autrui".
A la tristesse de la perte de deux admirables combattants pour la liberté s'ajoute aujourd'hui la honte que constitue l'accueil des otages libérés par Emmanuel Macron, acte de basse politique qui en dit long sur le cynisme de ce personnage vaniteux et méprisant, fossoyeur assumé de la Nation. Monsieur le Président, la décence et le courage voudraient que vous rappeliez à ces minables touristes égocentriques les valeurs qui ont conduit Cédric de Pierrepont et Alain Bertoncello à la mort : HONNEUR et PATRIE.
" A la France immortelle
Nos cœurs pour l'aimer
Nos bras pour la défendre
Nos vies pour la servir".
Musée alsacien de Strasbourg
PS : Bravo et merci à Olivier Mazerolle, chroniqueur politique sur la chaîne d'information LCI pour son intervention ce matin dans laquelle il fustige l'initiative d'Emmanuel Macron d'accueillir les deux otages libérés qu'il qualifie avec fermeté et colère "d'irresponsables".
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