jeudi 4 juillet 2024

"FAIRE BARRAGE", la seule ambition française.....

 





 "La dictature, c'est "ferme ta gueule" et la démocratie, c'est "cause toujours."

                      COLUCHE


"Quand on supprime les adversaires pour ne laisser place qu'aux ennemis (les extrêmes !!..), on tue la démocratie par là même."

                      Chantal DELSOL


               Depuis trois semaines il est frappant, et navrant, de constater qu'aucune réflexion de fond n'a été menée lors de la campagne électorale par les soi-disant défenseurs du bien, les sachants, les évangélistes de la bien pensance, c'est à dire la gauche propalestinienne et antisémite, la macronie convertie à l'écologie punitive et au communisme raisonnable...... : Un seul programme, un seul objectif :

             "faire barrage à l'extrême droite"!!

              Economie, Education, Justice, Sécurité, Immigration, Inflation, Dette, Déficit, Désindustrialisation, Santé, Indépendance militaire, Nucléaire, Pauvreté, Islam politique, Autorité,... ....Foutaises que tout cela !!  Faisons croire au petit peuple et aux sans-dents que les chemises brunes sont à nos portes...et que la guerre civile est proche! Honteux et pitoyable.


                    Chantal DELSOL analyse en profondeur et avec lucidité cette dérive politicienne mortifère pour la démocratie  dans notre pays :                        

«Seule la gauche peut soutenir des terroristes et continuer à donner des leçons de morale»

      Chantal Delsol   Le Figaro, 4 juillet 2024

                          "Un rassemblement des gauches peut se permettre de soutenir les terroristes et génocidaires du moment, et de continuer à donner des leçons de morale politique afin de « faire barrage ».

                          Autrement dit, les caractères dégoûtants qui faisaient repousser l’extrême droite (le négationnisme, le racisme, l’antisémitisme) ne sont plus considérés comme abjects quand ils sont aujourd’hui l’apanage de la gauche. On doit conclure que l’étalage de ces caractéristiques dégoûtantes était un prétexte, et non une vraie raison.

On ne va plus «faire barrage» à la droite parce qu’elle est antisémite (c’est la gauche qui est désormais antisémite), on va «faire barrage» juste parce que c’est la droite. Le roi est nu

                          Il y a parfois des phénomènes collectifs qui dépassent l’entendement, tant ils sont lourds de mythes inconscients et de vieilles histoires oubliées mais structurantes. C’est le cas ici. Nous sommes les héritiers d’une histoire où l’on pardonne tout au communisme et où l’on attribue tous les vices au nazisme. Ce paradoxe a été bien étudié par des auteurs comme Furet ou Nolte. Le communisme était le fils monstrueux des Lumières, ou de l’émancipation, pendant que le nazisme était le fils monstrueux des anti-Lumières, ou de l’enracinement.

                             C’est ainsi que le premier a bénéficié de toutes les excuses, pendant que le nazisme recevait sa juste punition. Il n’y a jamais eu de Nuremberg du communisme, non seulement parce que la Soviétie était victorieuse et l’Allemagne, vaincue, mais parce que l’Ouest a toujours gardé une indulgence très suspecte vis-à-vis du communisme (surtout la France, pays de 93, sans doute le plus égalitariste de la planète). Ces jours-ci, j’entends les mises en garde contre un éventuel ministre de la Défense nommé par Bardella, qui pourrait être accommodant avec Poutine. Mais je n’ai jamais entendu de cris d’orfraie quand nous avions un Parti communiste financé directement par Moscou, et un ministre de la Défense socialiste sur lequel pesaient de lourdes accusations pour être un agent du KGB régulièrement stipendié par la Soviétie pendant des années… Et la tradition du deux poids, deux mesures s’est perpétuée vaillamment.

                              On va chercher chez les élus de droite la moindre accointance datant de plusieurs décennies avec des mouvances étudiantes d’extrême droite. En revanche, on fait toujours mine d’ignorer que nombre d’élus de gauche ont été staliniens ou maoïstes, ou bien ont défendu Pol Pot, et aujourd’hui les déclarations pro-Hamas en l’honneur des terroristes passent au NFP pour d’aimables bavardages. Ou encore, pour juger la droite, on amalgame l’ensemble du groupe à son élément le plus extrême, qui suffit à infecter tout l’ensemble. En revanche, pour juger la gauche, on assure qu’il faut considérer les éléments « au cas par cas » et que, si certains sont extrémistes, bien d’autres ne le sont pas, qui seront dès lors respectables. Autrement dit, la droite est pourrie par ses quelques extrêmes, mais la gauche est valorisée par ses quelques modérés.

                              Ainsi la gauche décide-t-elle de la teneur du Bien au regard de son exigence du moment, comme n’importe quel dominant persuadé de pouvoir, dans sa toute-puissance, décréter le Bien et le Mal au jour le jour. La démonstration concrète en vient aujourd’hui : pour la première fois depuis l’affaire Dreyfus (un siècle !), la gauche décide que « son » antisémitisme n’est plus une faute morale, mais au contraire un signe de progrès. Car désormais le diable n’est plus le nazi, mais le blanc colonisateur, dont les Juifs représentent l’idéal-type. Ainsi, pour comprendre les bouleversements présents qui nous laissent désemparés devant la métamorphose du Bien et du Mal, il suffit de bien intégrer cette maxime quasiment kantienne (tant elle est durable et profonde) : pour savoir où est le Mal, il suffit de suivre la gauche. Il faut ajouter : cela se peut grâce à la lâcheté de la droite, qui, telle une femme épouvantée par son mari despotique, tremble et obéit au lieu de se rebeller.



                         Mais il y a un autre facteur que la pleutrerie de la droite et l’arrogance de la gauche. Il y a, peut-être surtout, le grand confort que l’on peut tirer d’un ennemi permanent. Depuis des décennies, à peu près un demi-siècle, le FN, devenu RN, a servi aux gouvernants français de raison, de prétexte et de circonstance pour se faire élire sans autre mérite que celui de l’injurier correctement. Tous nos gouvernements, de droite ou de gauche, ont utilisé ce précieux argument : votez pour moi, sinon vous aurez des antisémites et des racistes – chanté sur l’air des lampions et à longueur de jours. Cette rhétorique fonctionne sans exception, s’il le faut grâce au fameux « barrage », qui consiste à rassembler les forces les plus disparates dans une « union » dont la moralité ruisselle de partout.

                         Ainsi la démocratie se trouve-t-elle dénaturée : alors que la démocratie traduit en principe le débat (courtois si possible) entre des adversaires, notre « démocratie » consiste à désigner l’ennemi et à l’injurier, ennemi que par ailleurs on ne cesse de repoudrer parce qu’on en a bien besoin. Le dernier président en date, Emmanuel Macron, a tout fait pour déblayer la droite et la gauche modérées, afin de se trouver seul face à l’Ennemi – ce qui se traduit par « moi ou le chaos », attitude complètement antidémocratique. Et ses prédécesseurs, qu’il s’agisse de Jacques Chirac ou de François Mitterrand, pour remonter plus loin, n’ont jamais fait autre chose. La France, pays bonapartiste, n’aime pas la démocratie, et c’est pourquoi elle se trouve au chaud à côté de son Ennemi éternellement vivant, bien nourri et toujours d’attaque.

                            La guerre contre l’extrême droite, pour des raisons diverses, selon la définition du Mal que donne la gauche à chaque époque, occupe toute notre vie politique, emplit tous les discours et nous tient lieu de science politique. C’est une guerre si longue, si cruelle, si existentielle qu’elle empêche, et surtout évite, de se poser les vrais problèmes de la dette, de l’autorité, de l’école, de la santé ou de l’immigration. L’Ennemi est si important qu’on garantit son existence en parlant de lui sans cesse, si utile qu’il faut chaque jour redorer le brillant de ses maléfices. Il attire sur lui tous nos vices et occulte toutes nos impérities politiques, notre incapacité à nous réformer, qui nous entraîne par le fond.

Quel ennemi précieux ! Comme il est rassurant de le détester, alors que nous ne savons même plus pourquoi…"

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"France, mère des arts, des armes et des lois."

                     Joachin du BELLAY

mercredi 3 juillet 2024

LA FRANCE : LE DESASTRE . MACRON : LA HONTE

 




      "Le peuple ayant mal voté, le gouvernement a décidé de dissoudre le peuple".

                       Bertolt BRECHT

" Approuve ce que je te dis d'approuver, car je sais mieux que toi où se situe le bien".


                    La tragédie française est en train de s'écrire sous les yeux effarés du monde entier. Déni de démocratie après déni de démocratie Macron et sa bande de tristes sires et petits marquis, prédicateurs de vertu toute honte bue, bâillonnent la parole du peuple français qu'ils méprisent, la trahison en bandoulière, en un ultime mais vaine tentative de garder le pouvoir. Les antisémites sont devenus leurs amis, les terroristes palestiniens leurs idoles, les communistes leur modèle ( n'est ce pas  Edouard Philippe, vous qui demandez aux havrais de voter pour les communistes qui ont tenu pendant plus de trente ans la ville du Havre sous leur joug totalitaire? .....). Honte à vous messieurs (et mesdames, bien sur...), vous êtes la lie de la République, votre lâcheté n'a d'égale que votre fatuité. La France ne vous écoute plus.

         POURQUOI TANT DE HAINE DE LA FRANCE ? 

   NON, LE SOUVERAINISME N'EST PAS UNE MALADIE HONTEUSE !


                    Trois éditoriaux remarquables tant sur la forme que sur le fond résument avec brio le drame qui se joue dans notre beau pays trahi et abandonné par Macron et ses sbires :


    Alexis Brezet    Le Figaro, 1er juillet 2024

                             La gauche disqualifiée

                  "Lorsque les historiens se pencheront sur la dissolution, ils n'auront qu'un mot : désastre ! On ne saurait l'imaginer plus complet. Emmanuel Macron avait tout, ou presque : l'Élysée, et trois ans devant lui ; une majorité, relative, certes, mais une majorité tout de même ; un parti en ordre de marche ; un socle électoral étroit, mais étonnamment solide ; une image personnelle écornée, mais une autorité indiscutable. Il perd tout, fors l'Élysée. Il voulait unir le bloc central, diviser la gauche, isoler le RN : tous ses calculs se sont révélés faux. Au fond, son pari était que les Français, d'une élection à l'autre, changeraient d'avis : non seulement ils persistent, mais le niveau élevé atteint par la gauche LFI vient, si besoin était, ajouter une touche très inquiétante au tableau.

                   Quel champ de ruines ! Le chef de l'État faisait profession de « barrer la route aux extrêmes » ; ils n'ont jamais été aussi hauts. Prise dans la tenaille de ce face-à-face mortifère, la France se retrouve placée devant la double perspective de l'aventure politique ou du blocage institutionnel : les deux facettes d'une crise de régime. Merci, Macron !

                   Ce désastre ne tombe pas du ciel. Dans le creuset d'une campagne trop brève pour que s'y décantent les passions, trois éléments portés à ébullition ont produit cet ahurissant résultat : l'insondable légèreté d'un homme qui, par dépit narcissique, a pris le risque de plonger son pays dans le chaos ; la logique folle d'une stratégie, celle de l'hypercentre, qui prétendait éradiquer la droite et la gauche, et qui y a trop bien réussi ; l'exaspération, surtout, de ce malaise démocratique qui depuis tant d'années se nourrit - immigration, insécurité, dette, déficits, crises des services publics, désindustrialisation… – de nos lâchetés et de nos abandons. C'est dans ce chaudron, désormais, que mijotent les tourments de notre crise nationale.


                          Face à ce désastre, le pire serait d'ajouter le déni au déni, de se réfugier dans la déploration, les excommunications, ces habituelles chansons de la bonne conscience drapée dans sa supériorité. C'est un point qu'on doit céder à Emmanuel Macron : il voulait donner la parole au peuple, le peuple a parlé - massivement : la participation n'a jamais été aussi forte. Il faudra l'entendre, dans toute sa brutalité. Après un scrutin européen escamoté au motif qu'il s'agissait d'un « vote défouloir », rien ne serait plus dangereux qu'une expression populaire législative moralement disqualifiée.

                        Bien sûr, dans un scrutin à deux tours, la messe n'est jamais dite au soir du premier. Bien des choses peuvent encore advenir, et l'entre-deux-tours sera déterminant. Tout indique cependant que le cadre est fixé : la polarisation qui s'exprime à  travers la multiplication vertigineuse des duels RN-LFI ou leur affrontement en triangulaire dessine à la hache un paysage politique radicalement nouveau.

                       Il plonge les responsables publics, mais aussi les électeurs, dans les affres d'un dilemme politique et moral… Ce n'est pas un drame qui se joue – qui supposerait qu'un bien et un mal s'affrontent -, c'est, au sens propre, une tragédie, où le destin, qui vous somme de choisir, ne vous offre que des mauvaises solutions.

                      Les renvoyer dos à dos sera un refuge tentant pour les partis et les responsables politiques, désireux de se mettre en réserve en attendant un échec qu'ils estiment inévitable, sans pour autant faire injure à la liberté de vote, et de conscience, de leurs électeurs. Mais, au regard de la gravité des enjeux, les citoyens, sincèrement inquiets pour l'avenir du pays, se satisferont ils - ici et maintenant - de cette habileté, dans laquelle il est difficile de ne pas voir une échappatoire ?

                     Entre Bardella et Mélenchon, qui, en conscience, voudra mettre un signe d'égalité ? Le programme du RN est certes à bien des égards inquiétant, mais en face : antisémitisme, islamo-gauchisme, haine de classe, hystérie fiscale… Placé, quoi qu'il en dise, sous la domination de LFI, le Nouveau Front populaire est, de fait, le vecteur d'une idéologie qui consommerait le déshonneur et la ruine du pays. Emmanuel Macron, que la gauche somme de consentir à cette abdication, ne devrait pas l'oublier. Notre chroniqueur Nicolas Baverez rappelait récemment cette phrase de Raymond Aron, grande figure du Figaro : « Le choix en politique n'est pas entre le bien et le mal, mais entre le préférable et le détestable. » Les temps troublés dans lesquels nous entrons s'annoncent éminemment aroniens."

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     Vincent Trémolet de Villers  Le Figaro, 2 juillet 2024


                                 La coalition des Tartuffe

                "L’épreuve du choix. Depuis dimanche, beaucoup de Français vivent dans le carcan d’un dilemme moral: celui du moindre mal. S’abstenir, soutenir un modéré du camp d’en face contre «les extrêmes», voter RN pour éviter LFI ou le contraire: telles sont les questions. Mais, pour les aider à trancher, il faudrait d’abord que le parti de l’indécence commune, la coalition des Tartuffe, cesse de faire la leçon. Chez ces gens-là, en effet, on est loin d’être exemplaire.

                         D’abord, d’abord, il y a Jean-Luc Mélenchon, le directeur de conscience de la République, qui, avec Rima Hassan à ses côtés, dispense ses consignes au président, à la droite, à la France. Et puis il y a Sandrine Rousseau, qui trace la ligne qui sépare le bien du mal. Et puis François Ruffin, celui qui disait: «On a un taré à la tête de l’État» (et qui reçoit le soutien dans sa circonscription du parti du président de la République!). Et puis Raphaël Arnault, candidat fiché S en ballottage à Avignon. Derrière, la cohorte des provocateurs de la République, allure débraillée et insultes à la bouche: Louis BoyardAymeric CaronSébastien Delogu, Danièle Obono… Une procession qu’accompagnent les nouveaux convertis. Emmanuel Macron en tête, celui-là même qui, le 12 juin, reprochait au NFP de faire la part belle à «une extrême gauche qui s’est rendue coupable d’antisémitisme, de communautarisme, d’antiparlementarisme» et qui décide finalement de faire un bout de chemin avec elle. Gabriel Attal, celui qui a interdit l’abaya à l’école, et qui appelle à voter pour ceux qui veulent l’autoriser. Dans ce cortège, on retrouve aussi les innombrables associations écolos, néoféministes, «antifascistes» dont le seul point d’unité est l’équivoque vis-à-vis du Hamas, l’antisionisme obsessionnel, la haine de la police. La place de la République couverte dimanche soir de drapeaux palestiniens en témoigne: la lutte «contre l’extrême droite» n’est qu’un prétexte pour faire avancer un agenda militant.

Cette gauche prétend «sauver la République», mais elle devrait commencer par faire son examen de conscience. Elle pratique sans vergogne l’intimidation morale comme si elle était dépositaire des vertus démocratiques alors qu’elle est moralement disqualifiée."

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             Yves Thréard    Le Figaro, 3 juillet 2024                    

            “Macronmélenchonisme”

             "Un clip de rap anti-Rassemblement national circule sur les réseaux sociaux. Concentré de propos violents, sexistes, insultants, antisémites, cet appel au meurtre relève moins du débat politique que d’une cour d’assises. Et, quoi qu’en pensent ses auteurs pour se justifier, ce morceau abject a le mérite de montrer jusqu’où peut entraîner la haine de l’autre.

                             Dans un tout autre registre, à la gauche de la gauche, où on redoute l’arrivée du «fascisme à Matignon», il est une autre voix qui mène le combat. Mais celle-ci est mûrement réfléchie, travaillée, mise en scène. Elle est celle d’un homme qui œuvre sans doute moins pour faire triompher son camp que pour préparer son propre avenir, dans trois ans. Dimanche soir, place de la République, à Paris, Jean-Luc Mélenchon fut le premier à appeler à faire barrage au RN et au désistement en cas de triangulaire au second tour des législatives.

                              Flanqué de la militante propalestinienne Rima Hassan, aux épaules couvertes d’un keffieh, et le verbe toujours agressif, l’Insoumis en chef joue un jeu à plusieurs bandes. L’avance du RN est telle que son intérêt est davantage d’obliger le bloc central à respecter la réciprocité des désistements qu’à faire gagner la gauche avant 2027.

                              Le piège paraît avoir fonctionné. Édouard Philippe a beau rejeter tout accord avec LFI, l’exécutif, lui, a fini par entrer dans la danse. Plusieurs candidats de la majorité vont se retirer ou pourraient bénéficier de cette tambouille électorale, Élisabeth Borne et Gérald Darmanin en tête. Avant que Gabriel Attal en accepte le principe lundi soir, le chef de l’État s’y est peu à peu résolu.

                              Il n’avait pourtant pas eu de mots assez durs contre le Nouveau Front populaire, coalition «immigrationniste»«antisémite», où «on est chez les fous», avec qui «on peut changer de sexe en mairie» et qui mène à la «guerre civile». Qu’importe, et quoi qu’il en coûte, le macronmélenchonisme est né. Face au Rassemblement national, toutes les alliances sont à présent autorisées. Reste à savoir si elles seront efficaces dimanche soir…"

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                     Pour conclure, je suggère à tous ces traitres à la Patrie, à ces menteurs honteux, ces artistes sans talent, ces footballeurs bas de front, ces influenceurs dont la vulgarité n'a d'égale que la bêtise, ces "intellectuels" (de gôche!), lâches et pleins de morgue, ces anciens ministres et présidents gâteux et pleins de déshonneur, ces rappeurs l'insulte à la bouche,.....bref, à tous ces prêcheurs qui ont la prétention d'évangéliser ce petit peuple méprisable qui vote mal, cul terreux de la France d'en bas, je suggère donc de lire la dernière chronique de l'essayiste Pierre Vermeren qui conclut son analyse ainsi :

                    ".......Un vieux principe bismarckien établissait qu'il vaut mieux s'occuper des pauvres avant qu'ils ne s'occupent des affaires politiques. La mondialisation heureuse des élites le leur à fait oublier...... ,  .... ....Pour ces raisons structurelles, il est peu probable à ce jour qu'un dimanche en déjuge un autre".  

 (Réf. : "Les six leçons d'un scrutin historique" Le Figaro, 2 juillet 2024).


"La démocratie, c'est le gouvernement du peuple exerçant la souveraineté sans entrave."   Charles de GAULLE

                A bon entendeur, salut !

                    



"Parmi les gens qui n'ont rien à dire, les plus intéressants sont ceux qui se taisent."     COLUCHE

           N'est-ce pas messieurs Hollande, Strauss-Kahn, Bayrou, Mbappé, Jospin, Copé, Pécresse, et autres idiots utiles de la macronie.




jeudi 9 mai 2024

JO : LA HONTE

 





                Ces paroles gracieuses sont de JUL !!...... La noblesse de l'olympisme revue et corrigée par le soi-disant "chanteur" préféré des Français,.... si l'on en croit celui qui a dit un jour "il n'y a pas de culture française".....Pauvre France ! 




    "Plus ça va, moins ça va; si ça continue il va falloir que ça cesse".

                     Philippe de Villiers citant son garde-champêtre.....


                      Quelle vulgarité, quelle honte !! La France de Macron a touché le fond hier à Marseille avec ce scandaleux spectacle d'un rappeur, casquette en arrière vissée sur la tête, doigt pointé vers le ciel dans un geste volontairement ambigu et provocateur, allumant la flamme olympique. Il ne faut pas être grand clerc pour y voir la patte de celui qui n'a de cesse de détruire ce beau pays de France, sa culture, son histoire, son peuple aux origines judéo-chrétiennes, frondeur mais généreux, jaloux de sa liberté,  fier de son art de vivre et de ses traditions : Emmanuel Macron.

                        Honte à lui et aux petits marquis minables qui l'entourent et en particulier Gabriel Attal qui, comme l'a si bien défini Philippe de Villiers, "communie sous les deux espèces : le capitalisme mondialisé et le progressisme sociétal".  



       
                                                                              JO Rome 1960

            "La douleur, l'effort, l'espérance."

                                  Charles de GAULLE