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"La république, régime où l'Etat domine les féodalités".
Charles de GAULLE
La situation dramatique de la France en 2014 n'est pas sans rappeler 1958, année qui a vu la déliquescence de la IV ièm République et le retour du général de Gaulle sous la pression du peuple français exaspéré par l'incompétence et la veulerie des hommes politiques de l'époque, à droite comme à gauche, au centre ou plus exactement nulle part, aveuglés par leurs ambitions personnelles ! Le brave Président de la République, René Coty, l'avait très bien compris et appelé le seul recours possible à ses yeux et à ceux des Français méprisés par le "pouvoir politique" (!), Charles de Gaulle, avant que le pays ne tombe dans le chaos.
Hélas François Hollande, petit conseiller général de Corrèze au pouvoir par accident, incompétent, menteur, couard autant que suffisant, n'a ni la probité ni le sens de l'intérêt national et de l'honneur du Président Coty; il s'accroche au pouvoir au risque d'entraîner le pays au fond du gouffre. Ce sinistre personnage est indigne de la fonction qu'il incarne; qui osera le lui dire ? Bientôt il sera trop tard ......
"Dès que la vérité est détruite, ou même légèrement atteinte, tout retombe dans l'incertitude".
Saint AUGUSTIN
"La musique exprime ce qui ne peut être dit et sur quoi il est impossible de rester silencieux".
Victor HUGO
L'Ensemble Vocal RENAISSANCE et le Wirral Symphony Orchestra (Liverpool) donnent deux concerts à l'abbatiale de Montivilliers et à la cathédrale Notre Dame au Havre avec au programme :
Suites symphoniques :
Georges BIZET : L'Arlésienne
Frederick DELIUS : The Walk to the Paradise
Garden
Gustav HOLST : The Perfect Fool
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REQUIEM pour soliste, choeur, orchestre et orgue de
Maurice DURUFLE
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Mezzo soprano et Chef de choeur, Emmanuelle Pascal-Falala
Direction, Jonathan Small
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Montivilliers : Samedi 24 Mai 20h30 (Abbatiale)
Le Havre : Dimanche 25 Mai 17h30 (Cathédrale)
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Le Requiem de Maurice DURUFLE (1902-1986) a été écrit en trois versions : celle avec grand orchestre et orgue, dite "de concert", en 1947, puis une autre avec orgue seul, et enfin, publiée en 1961, une version à effectif réduit, dite "d'église". La création eut lieu à Paris à la radio puis en concert en 1947.
Ce Requiem s'inscrit dans la droite ligne de celui de Gabriel Fauré. Jamais tragique ni théâtral, il met l'accent non pas sur les terreurs du Jugement Dernier mais sur l'espoir de la Vie Éternelle. La différence entre les deux Requiem est que celui de Duruflé se fonde sur les mélodies grégoriennes enrichies de dissonances complexes :
"Je me suis efforcé de concilier, dans la mesure du possible, la rythmique grégorienne telle qu'elle a été fixée par les Bénédictins de Solesmes, avec les expériences de la musique moderne".
Pure musique religieuse dégageant autant d'humanité que de spiritualité, c'est aussi une oeuvre de tradition qui puise sa force dans le chant grégorien.
Le dernier mouvement, In Paradisum, le plus original sur le plan harmonique, mais aussi le plus émouvant, est une ultime réponse de la Foi à l'angoisse de l'homme, de l'envol de l'âme vers le Paradis, le Repos éternel. Ce choeur angélique qui s'achève comme suspendu en dehors du temps et de l'espace ne peut laisser indifférent croyants ou incroyants.
( Réf. : Guide de la musique sacrée, FAYARD)
"Je cherche les notes qui s'aiment"
W.A MOZART
"La gestion de l'économie n'est ni de gauche ni de droite. Elle est simplement bonne ou mauvaise".
Tony BLAIR
Monsieur le sous-ministre de la casse industrielle,
Ministre de l'Industrie le plus improductif depuis le début de la Vième République votre compétence en matière d'économie industrielle est comparable à celle d'une huître face à la théorie d'Einstein. Votre incompétence abyssale n'a d'égale que votre arrogance, votre fatuité et votre mauvaise foi. La catastrophe industrielle qui s'abat sur notre pays, dont le rachat partiel d' Alstom est, hélas, une terrible illustration, vous est largement imputable, même si vos prédécesseurs de droite, en particulier l'inénarrable Christian Estrosi, vous avaient largement préparé le terrain ....
Partez monsieur Montebourg ! et laissez la place aux nombreux capitaines d'industrie qui, depuis plus de trente ans, ont créé, développé et internationalisé avec succès les grandes entreprises françaises qui ont fait et font encore pour certaines, la fierté de la France. Il est vrai que vous n'êtes guère aidé par un Président qui dirige la France comme un club de pétanque !
Vous êtes la honte de la France et la risée du monde entier. Partez! vous trouverez peut-être une place de professeur de tri sélectif au lycée Coluche ou de spécialiste des préretraites des rouleurs de fûts ou des primes de risque des rempailleurs de chaises.
Dans l'attente et l'espoir de votre départ, recevez, etc...etc....
"En France, être patron c'est comme être voleur, fraudeur ou esclavagiste".
Yves de KERDREL
