"Les parvenus, les nouveaux riches et les imbéciles sont les ferments d'une nouvelle esthétique ".
Jean Richard BLOCH
Pour les médias et le microcosme parisien c'est "l'affaire" de l'année si ce n'est du siècle; pour la veuve de Carpentras et le cousin du Poitou ce n'est qu'une mascarade honteuse dont TOUS les acteurs mentent comme ils respirent avec pour seul objectif de briser la carrière politique de leur((s) adversaire(s). Ajoutons à cela un ego surdimensionné pour certains et une paranoïa exacerbée pour d'autres et nous avons le spectacle le plus grotesque qui soit, qui ne réhausse pas, c'est peu de le dire, la politique en France dont la médiocrité n'a d'égale que le mépris chaque jour grandissant qu'elle suscite chez nos concitoyens. Entre celui qui se prend pour Napoléon, de Villepin , et celui qui hésite entre Bonaparte et Néron, Sarkozy, les français dans leur majorité choisiront le moment opportun une autre voie : mais existera t'elle un jour?...
"Les hommes politiques pensent à capter nos regards avant de songer à convaincre les esprits".
François MAURIAC
Jean Richard BLOCH
Pour les médias et le microcosme parisien c'est "l'affaire" de l'année si ce n'est du siècle; pour la veuve de Carpentras et le cousin du Poitou ce n'est qu'une mascarade honteuse dont TOUS les acteurs mentent comme ils respirent avec pour seul objectif de briser la carrière politique de leur((s) adversaire(s). Ajoutons à cela un ego surdimensionné pour certains et une paranoïa exacerbée pour d'autres et nous avons le spectacle le plus grotesque qui soit, qui ne réhausse pas, c'est peu de le dire, la politique en France dont la médiocrité n'a d'égale que le mépris chaque jour grandissant qu'elle suscite chez nos concitoyens. Entre celui qui se prend pour Napoléon, de Villepin , et celui qui hésite entre Bonaparte et Néron, Sarkozy, les français dans leur majorité choisiront le moment opportun une autre voie : mais existera t'elle un jour?...
"Les hommes politiques pensent à capter nos regards avant de songer à convaincre les esprits".
François MAURIAC
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire