dimanche 18 novembre 2018

ECOLOGIE : MENSONGE ET ARNAQUE




" L'écologie est devenue la nouvelle religion de ceux qui n'en ont pas."

                       Yves de KERDREL


    Article à lire sans modération !!


             Les "gilets jaunes" ne font qu'exprimer, maladroitement, la colère légitime des français abasourdis devant la malhonnêteté et le cynisme revendiqué de nos gouvernants depuis plus de vingt ans au nom d'une écologie, non pas au service des citoyens mais de leurs seuls ambitions et intérêts personnels. La "planète" dont ils nous rebattent les oreilles avec des larmes de crocodiles n'a pas besoin d'eux pour se "sauver".Cela fait des millions d'années qu'elle s'accommode des pires changements climatiques et autres phénomènes planétaires, y compris la présence de l'homme, coupable parfois de quelques excès..., et cela n'est pas près de s'arrêter, n'en déplaise aux khmers verts qui depuis des années abusent le bon peuple qui "fume des clopes et roule en diesel" mais qui commence à comprendre qu'on se moque de lui ! Son réveil pourrait sonner comme un coup de tonnerre qui pourrait faire trembler notre belle planète ....






Réf. : Valeurs Actuelles  n° 4227 ( Mickaël Fonton)


             C’est pour sauver la planète !

"Avec la notion de taxe écologique, l’Etat a trouvé l’arme fatale pour ponctionner les Français. Une démarche dogmatique qui accable les plus modestes sans aider en rien l’environnement".


        .....    « ……….. Dans le nouveau monde qui se dessine, à Bercy ou au ministère de la Transition écologique et solidaire, on prend aux pauvres pour sauver la planète. Un nouveau concept qui repose sur une méthodologie bien rodée. Première étape: confondre sciemment l'écologie, la pollution et le climat. Seconde étape: bricoler un discours pseudoscientifique visant à démontrer que, par la faute de la sociétè occidentale, la planète court à sa perte. Enfin, transformer ce discours absurde en religion et laisser libre court à ses détestations". ......

                      "Détestations de quoi? "De l'automobile, du nucléaire, de l'industrie, de l'agriculture, de tout ce qui fonctionne bien, en fait !" ironise Rémy Prud'homme, économiste, professeur des universités et ancien directeur adjoint de l'OCDE. Une détestation qui confine à la bêtise. Ainsi du diesel, placé dans le collimateur des écologistes depuis des années bien qu'il dégage 20% de dioxyde de carbone de moins par kilomètre que le moteur à essence, ce qui, au regard du but d'une écotaxe, diminuer les rejets de gaz à effet de serre pour préserver le climat, devrait assurer son succès.Au lieu de cela : une haine farouche.Tant pis pour les ruraux de la Meuse ou du Cantal qui ne disposent pas de la fameuse "solution alternative" à la voiture : ils paieront. "Dites-nous de quoi vous avez besoin, on vous expliquera comment vous en passer", raillait Coluche. Ce n'est plus une blague : il a été décidé d'interdire les véhicules polluants dans tout le Grand Paris dès juillet 2019."

                       " Même absurdité pour le nucléaire, énergie propre du point de vue de la décarbonatation, et dont on envisage pourtant de se passer. "Le moteur de ce mouvement n'est pas scientifique, poursuit Rémy Prud'homme. C'est le degré zéro de la rationalité". Pour matérialiser ces détestations nouvelles, l'Etat dispose d'un outil très fiable : la taxe. Le catalogue des taxes "écologiques", ouvert en 1990, compte près de 70 entrées. Est venu récemment s'y ajouter un artifice très pervers : le principe de l'affectation. On taxe le carburant, mais c'est, dit-on, pour réparer les routes. On taxe les produits phytosanitaires, mais c'est pour le bio (qui ne peut vivre sans subventions). On taxe pour sauver les générations futures. Ou carrément la planète. Difficile d'être contre."

                       " Le problème est qu'une taxe a pour but de faire changer tel ou tel comportement (utiliser sa voiture, rouler avec un diesel, épandre du glyphosate, etc..) et non de rapporter de l'argent. Si elle en rapporte, c'est qu'elle a été mal pensée ou que, très hypocritement, elle a précisément été pensée pour renflouer les caisses de l'Etat et non pour le but qu'on lui attribue. Qui n'est pas là que pour faire passer la pilule. "L'écologie offre un nouvel alibi à la fureur dépensière des Etats qui ne savent toujours pas comment équilibrer leurs comptes, analyse Olivier Babeau, essayiste et fondateur de l'Institut Sapiens. Une taxe est forcément bonne puisqu'elle permet de sauver la planète. Coup de génie absolu de l'Etat providence déliquescent : la taxe c'est le Bien, celui qui la conteste est un ennemi de l'humanité" ".

                        " A force de tirer sur la corde, elle casse. Promises à l'asphyxie par une taxe carbone qui atteindra des niveaux astronomiques (100 euros la tonne de CO2 en 2030 contre 7 euros en 2014), les classes moyennes rurales, déjà fortement ponctionnées, risquent fort de refuser de mourir pour "sauver la planète". "


                        



                                                   TOUT EST DIT !


     " C'est dans le pire qu'ils sont les meilleurs."

                       COLUCHE







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