dimanche 31 mai 2020

RENAULT : Jean Dominique SENARD à LCI









                  " Primum vivere, deinde philosophari".
                  "Vivre d'abord et philosopher ensuite".


                          Merci Monsieur SENARD, votre passage ce matin sur la chaîne LCI a été admirable, digne du grand capitaine d'industrie que vous êtes. Quel contraste avec les discours des politiques, des médias et des syndicats sur les problèmes actuels rencontrés par Renault! 
                         Vous avez donné avec calme, mesure, intelligence, humanité, humilité, rigueur, mais aussi réalisme, une formidable leçon de conduite d'entreprise que nous n'avions pas entendue depuis très très longtemps, à tous ces pignoufs ignares et incompétents qui n'ont jamais rien compris ni à l'industrie ni à l'économie, et encore moins au volet social de toute société industrielle. 

                  Madame Aubry, fossoyeuse de l'industrie française littéralement "assassinée" par les tristement célèbres "35 heures", Monsieur Bertrand au boniment tout juste digne d'un marchand de cravates à la sauvette, j'espère que vous avez écouté ce remarquable interview et en tirerez les conséquences : laissez travailler ceux qui savent de quoi ils parlent !...Et vous salariés, ne gâchez pas cette formidable chance pour Renault que constitue la présence de Monsieur Sénard à la tête d'une entreprise que vous dites tant aimer.

                  Au mensonge, à la démagogie et à l'intérêt personnel qui dictent depuis des années les actions des politiciens et des syndicats, relayés par des journalistes incompétents à la recherche du sensationnel et du "buzz" (!), Jean Dominique Sénard a opposé la vérité, le réalisme et le dialogue, ne cachant rien de la difficulté de la tâche mais se montrant optimiste quant à l'issue de cette crise pour les salariés et pour l'entreprise Renault.

Bon courage Monsieur SENARD ! 

" Comment cela s'appelle-t-il quand le jour se lève, comme aujourd'hui, et que tout est gâché, que tout est saccagé, et que pourtant l'air se respire, et que l'on a tout perdu, que la ville brûle, que les innocents s'entre-tuent, mais les coupables agonisent, dans un coin du jour qui se lève ?"
"Cela a un très beau nom, femme Narsès, cela s'appelle L'ESPOIR."

                          Jean GIRAUDOUX     (Electre)






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