"Ne vous abandonnez pas au désespoir".... .. "N'ayez pas peur."... "Entrez dans l'Espérance !".
Saint Jean Paul II
"La Foi est simple, la Foi est également toujours espérance et la Foi est également amour"
Benoît XVI
Après Saint Jean Paul II, Pape de l'Espérance, Benoît XVI, Pape de la Foi, et Pape François, Pape de la Charité mais aussi.... de la rupture, les cardinaux vont devoir élire un souverain pontife dont de très nombreux catholiques attendent un retour à l'unité, au dogme "catholique et romain", la fin d'un relativisme doctrinal destructeur et d'un progressisme parfois schismatique.
A un Pape aux idées généreuses mais pas toujours justes, diviseur et périphérique, doit succéder un Pape soucieux de son troupeau et non de quelques brebis égarées, veillant à l'unité de l'Eglise comme l'ont fait avant lui jour après jour Saint Jean Paul II et Benoît XVI, et ne cédant pas au diktats des médias et des réseaux sociaux...!!
Il faut "remettre l'Eglise au centre du village", et non pas l'écologie au cœur de l'Eglise ..... "L'Eglise verte" n'a pas sa place dans la vie spirituelle des catholiques... "Dieu est Dieu, nom de Dieu !" Maurice CLAVEL
La revue Cardinalis pose clairement les enjeux de la succession :
"Les cardinaux qui arrivent à Rome pour le conclave dessinent le profil du nouveau pontife.
Un normalisateur qui ramène Jésus-Christ au centre et qui est moins protagoniste. Un pape qui n'est pas un centralisateur mais qui, en même temps, ne détruit pas la Curie romaine. Un pape qui sait parler au monde mais qui, en même temps, n'efface pas les traditions mais sait les préserver. Un pape qui peut mettre de l'ordre et qui comprend les défis juridiques importants nécessaires pour rétablir l'ordre dans ce que le pape François a défini comme « une réforme en mouvement ».
De nombreuses caractéristiques sont difficiles à trouver chez une seule personne. La capacité du nouveau pape à former un groupe, à être collégial plutôt que synodal et à ne laisser personne de côté pèsera également dans le choix.
Tout est très incertain. Il y aura 133 cardinaux électeurs, et beaucoup d'entre eux n'ont jamais eu l'occasion de se rencontrer. Le Conclave ne commence pas avec l'extra omnes. Il commence lorsque les cardinaux commencent à se parler et à se connaître".
"Le grand malheur de ce monde, la grande pitié de ce monde, ce n'est pas qu'il y ait des impies mais que nous soyons des chrétiens si médiocres".
Georges BERNANOS



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