jeudi 28 avril 2011

CHABAL


Petit joueur de rugby, mais cela les véritables amateurs de ballon ovale
le savaient depuis longtemps, Sébastien CHABAL s'est révélé récemment mauvais joueur en dénonçant la partialité et l'incompétence des arbitres du championnat français ainsi que la soi-disant malhonnêteté du président de la Ligue de Rugby, également président de club. Créature fabriquée de toutes pièces par les médias, "adulé" par des supportrices hystériques incapables de distinguer un ballon ovale d'un ballon rond, CHABAL a voulu promouvoir la sortie d'un livre pompeusement présenté comme sa biographie au titre prémonitoire : " Ma petite étoile" !... Effectivement tout est petit chez ce garçon manipulé dont les idées sont aussi courtes que ses cheveux sont longs.

Plus sérieusement cet ersatz de joueur de rugby a fait beaucoup de mal à ce sport en le confondant avec le show-bizz. Le rugby a failli y perdre son âme, mais la dernière saillie de Chabal a permis aux professionnels du rugby de réagir; notamment, espérons le, en bannissant "la petite étoile" de l'équipe de France qui n'a nul besoin de ce type d'individu.

Benoît DAUGA, Michel CRAUSTE, François MONCLA, Jean-Pierre RIVES, Olivier SAISSET, Jean-Claude SKRELA, Jean-Pierre BASTIAT, Jean PRAT,....nous faisaient rêver, Chabal nous fait honte.

"Chabal n'a pas écrit une seule ligne du rugby français"

Serge BLANCO

vendredi 22 avril 2011

DEMOCRATIE ?



















"La classe politique française papoteuse, ragotante et jacassante".




Charles de GAULLE




La machine médiatique pour l'élection d'un président de la République de gauche tourne maintenant à plein régime. Après le plébiscite DSK pour qui un plan de Com. absolument délirant a été mis en oeuvre le mois dernier par la quasi totalité des médias, avec une mention spéciale pour Canal +, la chaîne des bobos, et une deuxième étape, la semaine dernière, qui a frisé le ridicule en la personne de Nicolas HULOT, saltimbanque de l'écologie grand public,"aussi doué, pour reprendre les termes d'un article d'Yves de KERDREL, pour faire de la politique que Nicolas SARKOZY pour être archevêque de Canterbury", la troisième phase est actuellement en cours, avec la fameuse question: "Comment éviter un nouveau 21 Avril?" (Petit rappel pour les non-initiés (!): défaite cuisante de Lionel JOSPIN au premier tour des présidentielles de 2002 face à Jean-Marie LE PEN).




Nos soi-disant experts en stratégie politique (et en démocratie!!...) débattent depuis quelques jours à longueur d'émissions télévisées, de débats radiophoniques et de chroniques dans la presse écrite sur cette Ô Combien importante question !Une véritable hystérie collective anti-FNs'est emparé de la presse française depuis que tous les sondages, mêmes manipulés, donnent le parti de Marine LE PEN en deuxième position au premier tour des prochaines élections présidentielles de 2012 avec un score entre 21 et 23%.





Qu'en pensent les Français qui se croyaient en démocratie et à qui on
impose un "politiquement correct" digne des plus belles années des grandes "démocraties" des pays de l'Est il n'y a pas encore bien longtemps?




Gageons que le bon sens finira par l'emporter et que le prochain président de la République Française sera le champion que le peuple en conscience aura choisi et non un avatar du microcosme parisien et de la classe méditico-politique, porte-parole d'anciens"révolutionnaires" de salon qui, en Mai 1968, hurlaient dans les rue du quartier latin à Paris : "Election, piège à c..".




"Vos journalistes ne s'intéressent qu'à ce qui choque ou à ce qui est moche".





Charles de GAULLE

dimanche 17 avril 2011

CESSONS DE NOUS PLAINDRE !

"Les Français ont besoin d'avoir l'orgueil de la France. Sinon ils se traînent dans la médiocrité". Charles de GAULLE Les très nombreux candidats aux élections présidentielles de 2010 seraient bien inspirés de lire la dernière chronique de Chantal DELSOL : "Les Français, les plus pessimistes... et les plus gatés" ( Le Figaro du 16 Avril 2011). Le constat est sans appel : " L'ouverture imposée par l'Europe, et par la mondialisation, enterre nos illusions".....; "On nous démontre chiffres en mains que nous sommes devenus une province. Nous ne le savions pas puisqu'on ne comparait pas"....; " Un fanfaron, après avoir écrasé tout le monde de sa morgue, tombe dans la dépression si sa médiocrité s'étale...". Pourtant il n'y a pas de fatalité, le redressement est possible;...." les Français sont capables de comprendre et d'admettre que si la réalité n'obéit pas à la fiction, il ne s'agit pas d'une injustice". L'auteur souligne alors avec justesse qu'un des principaux obstacles à ce nécessaire sursaut "se trouve moins dans la psychologie d'une grande partie des Français que dans le discours d'une grande partie de nos gouvernants et de nos médias, gauche et droite confondues, qui figent notre peuple dans un statut de victimes". Il ne se passe pas un jour sans que l'on parle de "la souffrance à l'école, la souffrance dans l'entreprise, le harcélement par-ci, et la douleur par-là". Il est grand temps que les prétendants à la conduite de notre pays éliminent de leurs discours la démagogie, la compassion et les fausses indignations au profit d'un langage de vérité dans lequel les mots courage, ambition et efforts ne sont pas tabous: "....Nous n'avons pas besoin de gouvernants qui nous plaignent. Quelle basse démagogie que de plaindre les citoyens pour mieux les materner!"....."la France est amoindrie et en régression, certes; mais les Français ont besoin qu'on les encourage à surmonter les défis, et non qu'on les exhorte à pleurer sur eux-mêmes en accusant le monde entier". "La droite ignore ce qu'est la nécessité de la générosité et la gauche se refuse à la nécessité de la puissance". Charles de GAULLE

dimanche 10 avril 2011

Aimé CESAIRE

Nul ne ment autant qu'un homme indigné NIETZSCHE Nous venons d'assister il y a quelques jours, à l'occasion de l'inauguration au Panthéon d'une plaque commémorative en la mémoire d'Aimé Césaire, à un nouvel exemple de la dictature du politiquement correct et de la bien pensance qui régne sans partage en France depuis plus de trente ans. En réponse à cette parodie d'unité républicaine je rappelle ce que j'écrivais en Avril 2008 à propos d'Aimé Césaire et de son éventuelle entrée au Panthéon (Billet d'humeur du 18 Avril 2008) : " Quoique ait pu apporter Aimé Césaire à la littérature française, l'empressement dont ont fait preuve certains hommes et femmes politiques à demander l'entrée au Panthéon du "chantre de la négritude" est tout à fait excessif et ridicule, pour ne pas dire choquant. Il y a bien sur dans cette demande un parfum de démagogie et de repentance de l'esclavage, mais aussi, hélas, un exemple de plus de la perte d'un certain nombre de valeurs qui faisaient la grandeur de la France et de ses hommes politiques, à commencer par l'amour de son pays, ce que n'a jamais démontré, ni même revendiqué, Aimé Césaire qui aimait à se définir comme "un francais complétement à part". Ainsi a t-il été tout au long de sa vie un féroce partisan de l'autonomie des Antilles qui aurait permis à ces dernières de continuer à profiter des largesses de la France tout en ayant le statut de pays indépendant. Voilà pourquoi la décision de l'entrée d'Aimé Césaire au Panthéon serait un égarement de plus de la part de ceux qui ont la responsabilité du pays". Dois-je ajouter ce que ce poète antillais disait et répétait à ceux qu'il appelait "les blancs" : "Le sauvage vous dit m.... !" . Qui n'a pas vécu aux Antilles ne peut imaginer le fossé qui existe entre la Métropole et ces danseuses de la République qui n'ont que des droits et profitent sans vergogne des largesses d'une France à jamais repentante mais qu'elles méprisent. "Il ne faut jamais privilégier un groupe sur la nation, ni sacrifier l'avenir pour surmonter un embarras du présent. Le salut du pays avant tout ". Charles de GAULLE