"Il fallait bien que tout change pour que rien ne change". LAMPEDOSA
Le soufflé est retombé, le cirque écologique de Copenhague a fait long feu au grand dam de notre président voltigeur, Nicolas Sarkozy, et de ses deux fantassins verts, l'inénarrable Jean-Louis Borloo et l'agitée de l'écologie Chantal Jouanno. Sans surprise les masques sont tombés; USA, Chine, Russie et Indes ont joué leur partition priant l'Europe de s'occuper de ses affaires et de cesser de leur donner des leçons de "comportement citoyen" au nom d'un hypothétique réchauffement climatique annoncé mais jamais encore vraiment démontré. Quant aux pays africains ils ont vite réalisé qu'ils allaient être instrumentalisés par leur soi-disant protecteurs toujours très généreux quand il s'agit de promettre des milliards qu'ils n'ont pas et qui oublient le mot développement de "développement durable".
Tout le monde l'a bien compris Copenhague est un fiasco qui laissera des traces et devrait freiner la frénésie écologique qui s'était emparée de certains dirigeants croyant y voir un moyen facile d'assouvir leurs ambitions personnelles.
"Comment choisir entre le néant et le rien ?". François MAURIAC
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