"Il faut se méfier de la forme perverse du rêve qu'est l'illusion, de la forme perverse de l'action qu'est l'agitation". Roger CHINAUD
Barack OBAMA en bon américain qu'il est, défenseur indéflectible du monde libre, n'a pas tardé à reprendre le flambeau de G.W.Bush contre le terrorisme et sa plaque tournante l'Afghanistan. L'envoi de 30 000 soldats supplémentaires dans cette région où les talibans imposent leur loi en est une nouvelle illustration, n'en déplaise à ses laudateurs béats et irresponsables.
Monsieur OBAMA est un fin politicien qui se heurte aux exigences de la "real politic" et c'est au nom de celle-ci que, tout prix Nobel dela Paix (!!...) qu'il est, il est passé de l'homme du "Yes, we can!" à celui du "No, I can't!". Non, je ne peux pas régler sur ma bonne mine le conflit israelo-palestinien, Non, je ne peux pas avec de belles paroles mettre fin au terrorisme en général, à Al Quaïda en particulier, Non, je ne peux pas par mes seuls discours volontaristes résoudre la crise économique mondiale .......
Le pragmatisme américain a vite repris le dessus. Barack OBAMA découvre que la stature d'homme d'Etat ne se décrète pas, mais que cela demande du courage, du réalisme, de l'obstination, parfois des compromis, des sacrifices ...., " de la sueur, du sang et des larmes"!
"Face aux grands périls, le salut n'est que dans la grandeur" Charles de GAULLE
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