dimanche 26 mai 2019

CLIMAT : BON SENS ET THERMODYNAMIQUE






          "OUBLIEZ L’« EFFET DE SERRE » ET REVENEZ AUX FONDAMENTAUX !"

                      Jacques-Marie MORANNE



                    La raison et le bon sens s'expriment enfin et la culture scientifique reprend ses droits! En réponse au délire médiatique et à la dictature de la pensée qui sévissent depuis des années et nous annoncent un désastre écologique dont notre planète Terre ne se remettrait pas, des scientifiques indépendants, non politisés, non avides de crédits,de contrats, de voyages, d'honneurs et de promotions, mais à la recherche de la vérité scientifique, rien que la vérité, viennent de publier un livre remarquable :

"La physique du climat", disponible gratuitement sur le site internet : 


               Ce livre remet en cause un certain nombre d'idées reçues, en le justifiant, à la fois par le bon sens et les lois de la thermodynamique. Bien entendu aucun média n'a parlé de cet ouvrage dont la rigueur scientifique n'a d'égale que l'honnêteté intellectuelle de ses auteurs. On est loin de la manipulation des esprits orchestrée par les médias sous le haut patronage du GIEC. Comment ne pas être horrifié par le spectacle honteux de cette pauvre jeune lycéenne écolo suédoise sous influence, Greta Thunberg, baladée comme un objet de foire dans le monde entier pour nous mettre en demeure de soi-disant "sauver la planète"?....Comment ne pas s'inquiéter de cette folie écologique délirante et répressive qui conduit les gouvernements à envisager de supprimer la voiture à moteur thermique dès 2040 et à émettre l'idée que voyager en avion est une agression envers la planète?... 

                Ressaisissez-vous messieurs les dirigeants du monde et prenez le temps de lire ce livre avant que vous ne preniez des décisions irréversibles qui, pour le coup, entraîneront les habitants de notre Terre vers un désastre, non pas écologique mais social et moral. 
      

                  ******************************************


  Réf : « La physique du climat » de JM. Moranne et C. Veyres                                       


 Quelques extraits :


         Préface de François Gervais


                  "À la base de ce qu’il est convenu d’appeler l’effet de serre atmosphérique, sont incontournables l’absorption et l’émission d’un rayonnement thermique par les vibrations d’une molécule gazeuse. Dans le cadre d’une description quantique, on parlera de l’absorption et de l’émission d’un photon. Ces phénomènes relèvent de la Physique. Les molécules de l’air comportant au moins deux atomes différents, par exemple oxygène et hydrogène dans le cas de la molécule de vapeur d’eau, carbone et oxygène dans le cas de la molécule de dioxyde de carbone CO2, carbone et hydrogène dans le cas du méthane, sont ainsi le siège de vibrations atomiques capables d’absorber et d’émettre un rayonnement thermique. Ces vibrations s’observent dans la gamme infrarouge du spectre électromagnétique. Cet ouvrage décrit en détail ces mécanismes, essentiels pour comprendre la physique de l’atmosphère et ses implications dans le climat. A l’inverse et fort étrangement, on ne trouve pas trace de spectre infrarouge de l’atmosphère dans les quelque 1500 pages du dernier rapport AR5 du GIEC… De ce point de vue, cet ouvrage pallie une grave lacune.

                La climatologie devrait-elle rester réservée aux climatologues comme l’insinuent certains médias qui ont trop souvent tendance à la monter en épingle dans le cadre d’un débat non plus scientifique mais largement politisé ? 

           Le mot-clé « climatologie » est l’un des 55 qui définissent le champ d’application des enseignements et des recherches dans le cadre de la section 23 « Géographie physique, humaine, économique et régionale » du Conseil National des Universités. Autant les universités savent définir pour éventuellement le recruter les compétences d’un mathématicien, d’un physicien, d’un chimiste, d’un biologiste, d’un géographe, autant la climatologie apparaît-elle ainsi à sa vraie place, une sous-discipline de la Géographie parmi 54 autres. Combien d’auteurs des rapports du GIEC, le Groupe d’Experts (traduction un peu pompeuse du titre anglais « Panel ») Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat, justifient-ils d’une thèse en climatologie ? En tous cas, ni son Président actuel, ni le précédent. Les auteurs du GIEC ont généralement fait leur thèse dans d’autres disciplines et ont pris en marche le train du climat, devenu très politisé, promesse de crédits, de budgets, de contrats, de voyages, d’honneurs et de promotions. Arrhenius, lauréat du Prix Nobel de Chimie en 1903, à qui l’on attribue généralement la paternité de l’effet de serre atmosphérique, était-il « climatologue » ?

            On reconnait la griffe de Camille Veyres dans certaines portions de ce texte et certaines figures. J’ai rencontré Camille en 2014 pour réaliser que, sans se concerter, l’un comme l’autre avions développé une recherche parallèle aux conclusions assez similaires. Cette rencontre dans un café près du Palais Brongniart à l’invitation du Groupement HEC Alumni Géostratégies préludera à la formation du groupe des « Grogniarts du CO2 », aujourd’hui considérablement élargi et devenu l’Association des climatoréalistes. J’ai pour ma part publié ces conclusions dans l’International Journal of Modern Physics puis dans Earth Science Reviews.

             Cet ouvrage, plus détaillé et plus pédagogique que le caractère parfois un peu abscons d’articles scientifiques en anglais, est ainsi le bienvenu. Il devrait intéresser ceux qui savent lire une courbe, un graphique, une équation, donc encore beaucoup de monde, et fort heureusement. Espérons en ce sens qu’il contribuera à combattre une désaffection grandissante et dommageable pour la Culture scientifique.

             L’éclosion du printemps est un ravissement. Dans notre hémisphère, durant les saisons printanière et estivale, il s’accompagne d’une chute de quelque 55 milliards de tonnes de CO2 dans l’atmosphère, nourrissant une végétation en pleine croissance. C’est l’oscillation saisonnière de Keeling, mesurée précisément par spectrométrie infrarouge. L’amplitude de cette chute s’accroît plus vite à La Jolla en Californie que le taux de CO2 dans l’air, témoignant d’une végétation encore sous-alimentée. Aussi indispensable à la végétation qu’irremplaçable, le CO2 est tout le contraire d’un polluant, c’est un fertilisant.

               Ignorant ou occultant ce bénéfice, les marchands de peur vivent au dépend des anxieux qui les écoutent. Un matraquage médiatique devenu proprement insupportable amplifie cette inquiétude insidieusement entretenue. Comment résister à une telle propagande ? Comment se prémunir contre une peur devenue instrument de pouvoir ? Un excellent remède est de s’informer sur la Physique du climat grâce à cet ouvrage.

                Son tour de force est de toujours rester accessible sans pour autant tomber dans le travers d’une vulgarisation exagérément simplifiée, au point qu’elle pourrait en devenir trompeuse. On ne peut qu’encourager le lecteur à la petite gymnastique intellectuelle consistant à se plonger dans cette présentation, puis, si comme nous l’espérons il en a tiré le bénéfice souhaité, à la faire connaître et à la diffuser."


François Gervais

 Professeur émérite à l’Université de Tours

Ancien Directeur de Recherche CNRS au Centre de Recherche sur la Physique des Hautes Températures, Orléans

 Ancien Directeur de l’UMR CNRS 6157 Expert Reviewer du rapport AR5 du GIEC 28 mars 2019




      .1. Pourquoi cet ouvrage ?

            "Lorsque le suédois Svante Arrhenius (prix Nobel de chimie 1903) théorisa l'Effet de Serre Atmosphérique, dans un article intitulé « De l'influence de l'acide carbonique dans l'air sur la température au sol », publié en 1896, on croyait encore que les ondes électro-magnétiques se propageaient dans un "Ether solide".

             Il faut noter qu'Arrhenius, lui, n'y voyait que des effets positifs, les périodes chaudes ayant toujours été des périodes prospères, et le CO2 ne pouvant qu'être bénéfique à l'agriculture (alors que nous n'y voyons, nous, que des effets négatifs, au point de considérer le CO2 comme un "polluant" : les temps changent).

            A l'époque, il estime qu'un doublement du taux de CO2 causerait un réchauffement d'environ 5 °C (soit un peu plus que les prévisions de 2 à 4,5 °C faites par le GIEC plus de cent ans plus tard, en 2007, sur la base de cette même théorie). (Mais les spectres d’absorption de la vapeur d’eau et du dioxyde de carbone employés par Arrhenius étaient, aux longueurs d’onde de l’infrarouge thermique extrêmement erronés ; avec les spectres corrects connus depuis les années 1920 les calculs d’Arrhenius donnent +0,2°C (plus deux dixièmes de degré Celsius) pour un doublement des teneurs de l’air en dioxyde de carbone.)

           Paradoxalement, un siècle plus tard, on ne croit, bien entendu, plus à l'"Ether solide", mais on n'a jamais remis en question les fondements de cette théorie de l'Effet de Serre atmosphérique, qui est à la base de l'explication actuelle du réchauffement climatique d'origine humaine.

             Bien sûr, personne ne peut nier que la température se soit élevée au cours des 50 dernières années (auparavant, dans les années 70, on croyait plutôt à un refroidissement, voire une nouvelle glaciation) :Moyenne sur tout le globe de moyennes mensuelles de températures mesurées de la basse troposphère entre la surface et 2 km depuis 1978 par des appareils observant le rayonnement infrarouge des molécules d’oxygène, appareils embarquées sur divers satellites ; cette moyenne est exprimée en écart, mois par mois, de la température moyenne du mois par rapport à la moyenne du même mois calculée sur 1980-2010.

Source : http://www.drroyspencer.com/


        .. Néanmoins, pas aussi vite que les modèles informatiques de calcul du climat le laissaient prévoir :



            Lorsque la réalité s'écarte significativement des modèles, deux attitudes sont possibles :

        1- considérer que, la science étant "établie", l'écart est transitoire (voire faux), et que la réalité rattrapera les modèles (autrement dit, accorder plus de foi aux modèles qu'à la réalité) : c'est l'attitude politico-médiatique et quasi-religieuse de certains pays comme la France.

       2- considérer, comme le ferait n'importe quel scientifique, que cet écart nécessite à tout le moins une explication, et donc une remise en cause possible de la physique qui sous-tend ces modèles, d'autant que le climat a montré dans le passé qu'il était soumis à des variations significatives (optimum médiéval autour de l'an 1000, petit âge glaciaire 1300 à 1850).


                  En fait, personne ne sait exactement comment sont faits les programmes informatiques de modélisation du climat : certains prétendent que ce sont des extrapolations des programmes de modélisation de la météo, mais ces derniers, conçus pour prévoir le temps localement sur des durées de quelques jours, ne sont pas qualifiés pour intégrer des variations annuelles de concentration du CO2, considéré comme l'acteur principal du réchauffement climatique, ni des cycles climatiques, également pluriannuels, ni les îlots de chaleur urbains qui se constituent en plusieurs dizaines d'années.

                Et donc, il nous est apparu important de remettre les choses à plat : notre but est d'expliquer le fonctionnement du Climat (et non pas de la météo), en nous appuyant sur le bon sens, et en repartant des Lois physiques et chimiques de base de la Thermodynamique, qu'on apprend dès le lycée et qui reposent sur des théories validées par l'expérience, et auxquelles la climatologie ne saurait déroger.

               Par ailleurs, même si nous y consacrons un paragraphe, nous éviterons délibérément de parler d'"Effet de serre", de "rétroaction", de "forçage", termes qui s'apparentent plus à des slogans, et qui peuvent laisser présupposer l'existence d'une théorie climatique particulière qui permettrait de faire abstraction de la physique fondamentale du climat : s'il existe un "Effet de serre", il s'appuie nécessairement sur des fondements physiques, sans qu'on ait besoin de le nommer ; par ailleurs, une serre conventionnelle fonctionne essentiellement par blocage de la convection, ce qui va à l'encontre du fonctionnement de l'atmosphère : l'analogie est très mal venue.

             De même, nous éviterons de parler de "gaz à effet de serre", pour qualifier les gaz qui ont la propriété d'absorber tout ou partie des Infra-rouges thermiques émis par des corps aux températures terrestres : ces gaz agissent en effet de façon fort différente les uns des autres, et les classer dans une même catégorie n'a pas de sens.

             Enfin, on y verra que les lois physiques remettent en question un certain nombre d'idées reçues, et même bien ancrées, ... ce qui n'a rien d'étonnant : la Climatologie est à l'origine une activité purement descriptive, qui relève essentiellement des Sciences naturelles et de la Géographie, et non pas de la Physique."

1.2. Démarche

        "Le présent ouvrage est destiné à un public aussi large que possible : il nécessite des connaissances de base de thermodynamique, mais c'est un ouvrage de vulgarisation qui devrait intéresser ceux qui sont intéressés par les mécanismes, qui y trouveront des explications exprimées en langage que nous avons souhaité simple et compréhensible.

        Il est néanmoins adossé à des annexes techniques plus fouillées où le lecteur averti et moins pressé trouvera des compléments et des approfondissements, permettant de creuser les démonstrations physiques et mathématiques, et d'aborder les aspects "quantitatifs"."


1.3. Diffusion, évolutions, et commentaires

      "A l'inverse de beaucoup de "scientifiques", nous ne considérons pas que la Science est établie ("settled") : le sujet est rendu complexe par le nombre de disciplines scientifiques qu'il englobe, et par la complexité même de la Terre, de son atmosphère, et de ses océans ; et donc :

1. Cet ouvrage est destiné à être diffusé largement et donc gratuitement : les auteurs l'ont écrit par simple conviction scientifique, et n'en attendent pas de rémunération : et donc il est libre de droits (il ne s'agit finalement que de physique). Faites-le connaître et diffusez-le le plus largement autour de vous : ce sera notre plus belle récompense.

2. Nous sommes ouverts aux critiques, dans la mesure où elles enrichissent le débat scientifique ; et sa publication sur Internet (https://laphysiqueduclimat.fr) est ouverte aux commentaires (néanmoins modérés).

3. En fonction de cela, l'ouvrage est sans doute appelé à évoluer : il sera doté d'un indice de révision qui identifiera et qualifiera ces évolutions.

4. C'est la raison pour laquelle il est uniquement disponible sous format électronique (pdf)."


1.4. L'auteur

                       "Le présent ouvrage est le résultat d'un travail d'équipe ; la rédaction en a été effectuée par Jacques-Marie Moranne.

                      Jacques-Marie Moranne est ingénieur de l'Ecole Centrale de Lille (1969). Il a pratiqué la plupart des métiers d'ingénieur, depuis l'engineering (génie chimique), jusqu'à la création et la direction d'une société d'informatique, en passant par la maintenance, l'organisation et les méthodes, la CAO, les Bases de Données associées, aussi bien dans des grandes sociétés (Air Liquide, Elf, Areva, Saint-Gobain), que des petites.

                      Jacques-Marie Moranne était au départ, et jusqu'à la COP de Copenhague, climato-alarmiste, mais les contradictions, à la fois factuelles, et physiques, ont éveillé son esprit critique, et l'ont progressivement amené à douter, puis à creuser la physique sous-jacente, avec l'aide de spécialistes indéniables, à l'instar de Camille Veyres, qui a fourni l'essentiel de la matière de cet ouvrage, et qui est l'auteur des annexes techniques auquel il est adossé.

                      Jacques-Marie Moranne est membre de l'Association des Climatoréalistes. Jacques-Marie Moranne ne se prétend pas climatologue, mais la Physique du Climat, c'est avant tout de la Thermodynamique appliquée ; et la formation d'ingénieur en fournit toutes les bases nécessaires."  


          

            
Conclusions

          « La physique (et le bon sens) contre disent un certain nombre d'idées reçues et véhiculées en particulier par la plupart des médias.
En particulier :
- L'Effet de Serre par rayonnement du bas vers le haut, puis rétro-rayonnement du haut vers le bas n'existe pas, que ce soit dans une serre conventionnelle (qui fonctionne par blocage de la convection), ou dans l'atmosphère.

- Les -18°C d'une Terre sans "gaz à effet de serre" sont un mythe : une Terre sans atmosphère aurait une température moyenne beaucoup plus basse (probablement de l'ordre de -50 à -60°C) : la moyenne sur la Lune est de -80°C.

- C'est le Gradient Thermique Gravitationnel, lié au poids de l'atmosphère (et non à sa composition chimique), qui, du fait d'une augmentation de 6,5°C/km à partir de la Tropopause, explique que la température à la surface de la Terre atteigne 15°C en moyenne.

- C'est l'évaporation qui est le principal régulateur de la température en surface (océanique à 71%) (7%, soit plus de 6,5 W/m 2 par °C d'écart).

- Si la concentration en CO2 venait à doubler, il en résulterait une augmentation de température en surface de moins de 0,5°C : on est très loin des prévisions alarmistes allant jusqu'à 5°C et plus.

- La vapeur d'eau a un effet régulateur (feed-back négatif) et non pas amplificateur.

- Si la température s'est élevée de 1°C en un siècle, il faut en rechercher les causes ailleurs que dans la concentration de CO2.

- Le climat subit des cycles ; la méconnaissance de ces cycles fausse toutes les conclusions qu'on peut tirer des observations.

- Le climat est chaotique, et il est impossible de tirer des conclusions localisées (augmentation ou diminution de la pluviométrie à tel endroit, par exemple) (sauf peut-être à faire intervenir des techniques d'intelligence artificielle (http://knowledgeminer.eu/) ?).

- ... Et d'une façon générale, les observations sont encore insuffisantes pour en tirer une théorie du réchauffement climatique indiscutable qui justifie le réchauffement actuellement constaté.



                    Même s'il est impossible dans un tel ouvrage de pousser les calculs comme le feraient des programmes de simulation, les ordres de grandeur sont là, et une simulation qui donnerait des résultats très différents devrait être remise en cause.

                    "L'atmosphère terrestre ayant par le passé subi des transformations bien supérieures à celles qui sont envisagées s'est comportée comme un système stable, la biosphère s'est également adaptée, et le catastrophisme médiatique apparaît donc comme irrationnel. Nous ne pouvons combattre une pensée magique par la théorie, seulement par le bon sens. C'est seulement lorsque le dogme prétend s'appuyer sur la science qu'il faut en montrer toutes les insuffisances." (Lionel Fischer, relecteur)

                  ***************************
                                                                                             
 Oui à l'écologie raisonnée et scientifique, non à l'écologie idéologique et punitive !



" Il ne faut pas oublier que le climat est chaotique, et que faire des simulations précises du climat à de tel endroit dans 50 ans ou plus relève du doigt mouillé."

                Jacques-Marie MORANNE






Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire