Le microcosme mediatico - politique parisien et les adeptes de la "bien pensance" ont eu raison de Daniel Bouton président de la Société Générale, victime du sport national français : attaquer et condamner ceux et celles qui réussissent. En hurlant avec les loups Nicolas Sarkozy n'a pas été le moins actif dans ces attaques ad hominem aussi excessives que démagogiques. Ne parlons pas de monsieur Xavier Bertrand et son air de marchand de cravates à la sauvette, plus crédible dans son rôle de " Nicolas a dit..." que dans celui de ministre du Travail.
Ce n'est pas en attaquant sans arrêt les entreprises françaises et ses dirigeants que la France attirera les entreprises étrangères lorsque l'heure de la reprise de l'économie mondiale aura sonné. Il est amusant, par ailleurs, de noter le commentaire d'un délégué CGT de la Société Générale dans les médias :" F..... nous la paix, laissez la banque faire son travail ".!..... Le bon sens n'est pas toujours là où on le croît.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Prendre la défense de Bouton, franchement, il faut le faire !
RépondreSupprimerQuoiqu'on puisse penser des boutiquiers de l'UMP ou des donneurs de leçons de la presse bien-pensante, force est de constater que le sieur Bouton n'a pas brillé par son sens de l'honneur ou ses hautes valeurs morales au cours des derniers mois !
Après avoir jeté en pâture le jeune Kerviel et s'être ainsi défaussé de ses responsabilités, après être sorti par la porte pour donner des gages tout en rentrant par la fenêtre en conservant son poste de président du conseil d'administration et ses confortables émoluments, après s'être généreusement attribué ainsi qu'à ses compères un bon paquet de stock-options (il a lui même déclaré qu'il s'agissait d'une maladresse...), il était temps que ce triste sire débarrasse le plancher !
Sa retraite de 730000 €/an m'évitera de m'apitoyer sur son sort. Si Xavier Bertrand a un air de marchand de cravates à la sauvette, Bouton s'est comporté comme un joueur de bonneteau de foire !