Politiquement hors-jeu Madame Royal a une nouvelle fois choisi la provocation pour exister, transformant son "désir d'avenir" en un onirisme médiatique affligeant. Mégère apprivoisée peu convaincante tout au long de la campagne présidentielle puis Chantal Goya sur le retour au Zénith, la voilà maintenant dans un rôle très "tendance" actuellement et apprécié de l'audimat, celui de la repentante éplorée s'autoflagellant pour expier les fautes, ou supposées telles, des méchants, le président de la République française dans le cas présent. Ses tentatives pour "rentrer dans l'Histoire" sont pitoyables.
Le temps n'est pas loin où mêmes les médias se lasseront de ses pitreries.
" Maintenant que les bornes sont dépassées, il n'y a plus de limite".
Le Sapeur Camembert
"Ce qui caractérise notre époque, c'est la crainte d'avoir l'air bête en décernant une louange, et la certitude d'avoir l'air intelligent en décernant un blâme"
RépondreSupprimerJean Cocteau
La démarche d'un poète
Mais que deviendrait donc Madame Royal si Nicolas Sarkozy n'existait pas ?